Au conclud pache hors de la forteresse,
Ne sortira celuy en desespoir mis :
Quant ceux d’Arbois, de Langres, contre Bresse,
Auront mons Dolle bouscade d’ennemis.
Le général Bourbaki fut lié de manière étrange à la chute de Metz en annonçant au général Bazaine assiégé dans Metz (« de la forteresse »), que Napoléon III et Bismarck ont signé un traité de paix (« Au conclud pache ») et que celui-ci devait cesser le combat. Bazaine fut désespéré par l’information (« Ne sortira celuy en desespoir mis »).
Cela se produira lorsque les troupes françaises seront attaquées (« bouscade d’ennemis ») dans le Jura (« Quant ceux d’Arbois (…) Auront mons Dolle »), en Bresse (« contre Bresse ») et à Langres (« de Langres »).