Auteur : Chaulveron

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Les ères astrologiques en Grèce : l’ère du Bélier (3).

L’ère astrologique du Bélier est la plus récente ère que nous connaissons sur la Grèce antique, puisque l’ère du Poisson ne concerne plus vraiment l’antiquité et que les grands concepts de la mythologie était déjà bien installé. Toutefois, nous pouvons retrouver des mythes liés au Poisson, et même au Verseau dans la mythologie grecque, sans savoir si cela concerne une période déjà vécue par le monde hellène ou si ce savoir aurait été transmis par d’autres peuples plus anciens. Je ne trancherais pas la question dans cette série d’articles. En revanche, l’article suivant traitera des ères du Poisson et du Verseau dans la mythologie grecque.

Le Bélier est l’influence principale (I) et s’oppose à la Balance qui est l’influence secondaire (II). C’est le Taureau qui a été sacrifié (III).

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Les ères astrologiques en Grèce : l’ère du Gémeaux (1).

Après avoir étudié dans le détail les ères astrologiques dans la Bible, je vous propose de reprendre le même travail, mais avec la Grèce et en particulier avec sa mythologie. Les sources sont là aussi très riches et permettent de faire un vaste travail de recherche. Il est d’ailleurs très étrange de remarquer, qu’il est possible de retrouver la trace de presque toutes les ères astrologiques, alors même que l’histoire de la Grèce antique est « censé » être circonscrite sur une période très courte.
L’ère astrologique du Gémeaux a laissé quelques traces dans la mythologie grecque dont il convient de parler. Le Gémeaux (I) s’oppose au Sagittaire (II). Ce sont les deux influences de cette époque, l’une principale et l’autre secondaire. Durant cette ère, le signe précédent qui va être sacrifié, c’est le Cancer (III).

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Les ères astrologiques (3) : l’ère du Poisson.

A titre introductif, je tiens à préciser, ma méthode de travail sur les ères astrologiques, pour éviter les malentendus. Durant l’Antiquité, les astrologues se distinguaient en deux catégories : ceux se référant au « morphomata » et ceux se référant au « zodia noeta ».

Le « morphomata » concerne les figures des constellations réelles dans le ciel, alors que le « zodia noeta » prend en compte un découpage du ciel en douze signes fictifs. C’est la séparation moderne entre astrologie sidéral (morphomata) et tropical (zodia noeta).

Origène, père de l’Eglise et grand astrologue, avait choisi la conception « zodia noeta » comme la seule compatible avec le christianisme. Nous reparlerons d’Origène et de sa conception de la Grande Année de Platon ultérieurement.

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Les ères astrologiques (1)

Cet article prend la suite directe du cinquième article sur « l’astrologie sumérienne ». Il reprend mes développements pour les étendre à un domaine plus vaste qui inclut l’histoire religieuse de l’Orient et de l’Occident chrétien. Je vous invite donc à le lire au préalable avant de commencer la lecture de celui-ci.
Dans mon livre « Nostradamus et l’astrologie mondiale », j’ai rédigé un chapitre sur la Grande Année de Platon et sa tentative de récupération par la Révolution française. Pour plus de détail, je vous renvoie à la lecture de mon livre. Je présenterais une synthèse de la notion de Grande Année chez Platon et ses continuateurs (I) ce qui inspira au temps moderne l’idée d’une Grande Année astrologique (II). Je le ferais en tenant compte de mes découvertes récentes sur le calendrier sumérien. Il est devenu nécessaire pour moi, d’actualiser mes connaissances sur le sujet.

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L’astrologie sumérienne (5)

Il existe un lien évident entre l’astrologie et le calendrier, comme l’avait remarqué si justement le regretté Jean Richer. Il rêvait d’écrire un livre sur le sujet. Il espérait également que d’autres chercheurs prendraient sa relève pour continuer ses recherches. J’ai lu avec passion ses livres et je pense à lui en ce moment lorsque j’aborde ce sujet. Dans « la géographie sacrée du monde Grec », il étudia l’astrologie grecque, dans « la géographie sacrée dans le monde romain », il aborda l’astrologie romaine, dans « Delphes, Delos et Cumes », il tenta une esquisse de synthèse des deux précédent livre, en ouvrant des perspectives vers l’Asie mineur et en particulier avec la Perse et la Mésopotamie; sans avoir étudié l’astrologie sumérienne. Il sous-entendait que l’origine de la géographie sacrée se trouvait à Sumer. Il avait entièrement raison. J’ai longuement étudié cette question pour le confirmer. Je n’aborderais pas cette question dans cet article qui ne concernera que le lien entre le calendrier et l’astrologie. Je me réserve la question pour une autre série d’articles. Le sujet est trop vaste.

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