Marie-Julie Jahenny parlant des malheurs qui frapperont la France et l’Italie indiquait une durée entre la deuxième et la troisième guerre mondiale.
« De grandes choses prendront leur éclat, qu’on ne pourra plus arrêter. Ce coup terrible est marqué, sous la main de Dieu, pour monter vers le milieu de la fin du siècle, surtout des années qui ont commencé par l’époque 80.
Avant d’être au tiers de ces années, toute la terre aura passé sous l’épreuve du feu du ciel, sous l’épreuve que sont les fléaux de Dieu. Ils se suivront plus rapidement que les choses d’aujourd’hui ne marchent vers leur terme.
Ces grands événements de sang et de victimes partiront, comme un coup de foudre, par la voix des hommes et du ciel… » (6 juin 1882).
« Le milieu de la fin du siècle« , c’est la Deuxième Guerre mondiale (1940-1945).
Qu’est-ce que « l’époque 80 ».
Beaucoup ont pensée qu’il s’agissait de 1980, voir 2080, puisque la vision de la stigmatisée eut lieu en 1882. J’ai très tôt pensée qu’il s’agissait d’une durée. L’invasion de la France, et le début de son occupation eu lieu en 1940. Le règne du Troisième antéchrist devant commencé en 2020 (selon le quatrain VIII-77 de Nostradamus), nous trouvons très exactement 80 ans entre les deux dates.
En ce début d’année 2020, le Troisième Reich revient à la mode.
Certaines choses que nous n’avions plus vu depuis 1940 font leurs retours.
Depuis 2019, nous avons Lallemand à la Préfecture de Paris. Et lorsque l’Allemand siège à la préfecture, nous ne sommes pas loin de la kommandantur. Il dispose a son service d’une police politique dont les exactions et la violence rappels la Gestapo de l’occupant.
Le confinement lié à la crise « sanitaire » du pipo virus se transforme en une sorte de couvre-feu.
Pour circuler en dehors de son domicile, il faut son laissez-passer. Un ausweis, comme on dit en allemand. Cela va rappeler de mauvais souvenir à certains. L’ausweiss était un document délivré par les autorités d’occupation pour permettre la circulation des Français dans les rues. Il devait être présenté à chaque barrage de l’armée allemande.