Le 4 décembre 2019, je rédigeais un article sur le règne du troisième antéchrist qui commencerait en 2020 et se terminerait en 2027.
Voici l’objet du crime.
Je voudrais reprendre l’analyse du texte deux ans plus tard pour le compléter à la vue des événements qui se sont déroulé depuis cette date. Je rappelle que l’article fut rédigé le 4 décembre 2019, avant le corona-virus, la dictature sanitaire et bien sûr la guerre en Ukraine. Je ne me suis pas trop trompé dans mon étude du quatrain. Mais bon, il y a des choses à compléter.
VIII-77 :
L’antechrist trois bien tost annichilez,
Vingt & sept ans sang durera sa guerre :
Les heretiques morts, captifs exilez,
Sang corps humain eau rougie gresler terre.
Voici l’interprétation que j’en proposais :
Le troisième antéchrist (« L’antechrist trois ») sera vaincu (« bien tost annichilez ») après une guerre (« sa guerre ») qui commencera en 2020 (« Vingt »), durera sept ans (« sept ans sang durera sa guerre ») et s’achèvera en 2027 (« Vingt & sept »). Les hérétiques seront tués ou exilés (« Les heretiques morts, captifs exilez ») alors que la terre sera rougie par le sang (« Sang corps humain eau rougie gresler terre »).
Nostradamus parle de « l’antéchrist trois« .
Chez Nostradamus, il y a trois antéchrists.
- Le premier antéchrist serait un royaume, c’est l’URSS et ses états satellites.
- Le deuxième, c’est Adolf Hitler.
- Le troisième, c’est Emmanuel Macron.
Dans son épître à Henri, Nostradamus qualifie le régime bolchevique de « grand empire de l’Antéchrist » :
« Puis le grand empire de l’Antéchrist commencera dans la Atila et Zerses descendre en nombre grand et innombrable, tellement que la venue du Saint-Esprit procédant du 48e degré fera transmigration, déchassant à l’abomination de l’Antéchrist, faisant guerre contre le royal qui sera le grand vicaire de Jésus-Christ et contre son Eglise et son règne « per tempus, et in occasione tempori » (Epître à Henri, 44).
Il situe l’Empire de l’Antéchrist dans l’ancien patrimoine d’Attila et de Xerces (« Puis le grand empire de l’Antéchrist commencera dans la Atila et Zerses »). La précision est stupéfiante. Elle permet de le situer géographiquement. Attila a vécu dans le long des rives du Danube en Hongrie, jusqu’en Russie. Son peuple était originaire des steppes russes et chinoises. Quant à Xerces, un roi perse dont le territoire s’étendait sur une partie de la Russie de 1917. Les régions concernées sont le Caucase et l’Asie centrale.
Le premier antéchrist est le régime communiste russe de 1917 à 1991.
Le « second antéchrist« , est également cité dans l’épître à Henri :
« Et dans ce temps et cette contrée la puissance infernale mettra à l’encontre de l’Eglise de Jésus-Christ la puissance des adversaires de la loi, qui sera le second Antéchrist, lequel persécutera cette Eglise et son vrai vicaire, par moyen de la puissance des rois temporels, qui seront par leur ignorance séduits par langues, qui trancheront plus que nul glaive entre les mains de l’insensé. (…) Le susdit règne de l’Antéchrist ne durera que jusqu’au définement de ce nais près de l’âge et de l’autre à la cité de Plancus accompagné de l’élu de Modone Fulcy, par Ferrare, maintenue par Liguriens adriatiques et de la proximité de la grande trinacrie » (Epître Henri, 94-95).
Le « second Antéchrist » utilisera la « puissance infernale » pour persécuter « l’Eglise de Jésus-Christ ». Il sera l’adversaire de « la loi » de Dieu. C’est en cela qu’il est Antéchrist. Il fera assassiner le docteur Klausener de l’Action catholique. Il tentera de mettre au pas les Eglises chrétiennes. Ils inciteront les pasteurs protestants, à enseigner des idées racistes et le culte d’Hitler. Plusieurs pasteurs refuseront de se plier à une telle volonté et seront déportés dans les camps de la mort, comme par exemple Martin Niemöller et Dietrich Bonhoeffer. Le projet final du nazisme est d’éradiquer le christianisme d’Allemagne.
L’Antéchrist, doué d’un talent oratoire exceptionnel, électrisera les foules ignorantes avec des mots qui trancheront mieux que la lame de l’épée (« par leurs ignorances séduites par langues qui trancheront plus que nul glaive entre les mains de l’insensé »).
Le second antéchrist sera accompagné par « de l’élu de Modone Fulcy par Ferrare ».
L’expression est étrange. Elle est absolument géniale. D’une précision stupéfiante.
En effet, le Duce est né dans la région de Ferrare (à dix kilomètres de Forli). Il est au côté d’Hitler, sans être qualifié d’Antéchrist.
« L’élu », car Benito Mussolini est arrivé au pouvoir par un processus électoral. Il fut élu député aux élections législatives du 15 mai 1921. Il prendra le pouvoir en participant à une coalition politique, le 31 octobre 1922.
« Modone », pour Modène, « Fulcy »» pour Forli et « Ferrare » sont trois villes de la région d’Emilie-Romagne. Le fait est troublant lorsqu’on regarde leurs situations géographiques sur une carte.
Adolf Hitler, le deuxième antéchrist régna de 1933 à 1945.
Donc récapitulons :
Royaume de l’antéchrist. | URSS. | 1917-1991. |
deuxième antéchrist. | Adolf Hitler | 1933-1945. |
antéchrist trois | Emmanuel Macron | 2012-2027 |
Emmanuel Macron a été « élu » président en 2017, soit cent ans après l’arrivé au pouvoir du premier antéchrist.
Or, 2017 n’apparait pas dans le fameux quatrain… oui… mais lisons le texte de manière très attentive. Il ne parle pas du règne de « l’antéchrist trois », mais de sa guerre. Il a été « élu » en 2017, mais a commencé sa guerre en 2020.
Nous retrouvons cette date dans l’expression « Vingt & sept ans sang durera sa guerre« .
L’expression « vingt et sept » comporte trois informations importantes :
- « vingt » (2020), c’est l’année du début de la guerre de l’antéchrist.
- « sept », c’est la durée totale de la guerre (l’adjonction du mot « ans » permet clairement de comprendre qu’il s’agit d’une durée).
- Enfin « vingt et sept » (2027), c’est l’année de la fin de la guerre et de la destruction du troisième antéchrist.
Un tableau synthétique permet de bien comprendre l’articulation de l’expression « vingt et sept ».
Années/durées. | VIII-77. | Evènements. |
2020. | « vingt ». | Début de la guerre. |
7 ans. | « sept ». | Durée de la guerre. |
2027. | « vingt et sept ». | Fin de la guerre. |
2020 : c’est la crise sanitaire du corona-virus.
Emmanuel Macron prononça plusieurs allocutions télévisées au ton très martiales.
La première, le 12 mars 2020 n’évoque pas le mot de « guerre », mais martel l’expression « mobilisation générale« .
« Françaises, Français, mes chers compatriotes,
Depuis quelques semaines, notre pays fait face à la propagation d’un virus, le Covid-19, qui a touché plusieurs milliers de nos compatriotes. J’ai, bien entendu, ce soir, avant toute chose, une pensée émue et chaleureuse pour les familles et les proches de nos victimes. Cette épidémie qui affecte tous les continents et frappe tous les pays européens est la plus grave crise sanitaire qu’ait connu la France depuis un siècle. Dans l’immense majorité des cas, le Covid-19 est sans danger, mais le virus peut avoir des conséquences très graves, en particulier pour celles et ceux de nos compatriotes qui sont âgés ou affectés par des maladies chroniques comme le diabète, l’obésité ou le cancer.
Durant plusieurs semaines, nous avons préparé, agi. Les personnels des hôpitaux, médecins, infirmiers, ambulanciers, les agents des Samu et de nos hôpitaux, les médecins de ville, l’ensemble des personnels du service public de la santé en France sont engagés avec dévouement et efficacité. Si nous avons pu retarder la propagation du virus et limiter les cas sévères, c’est grâce à eux parce que tous ont répondu présents. Tous ont accepté de prendre du temps sur leur vie personnelle, familiale, pour notre santé. C’est pourquoi, en votre nom, je tiens avant toute chose à exprimer ce soir la reconnaissance de la Nation à ces héros en blouse blanche, ces milliers de femmes et d’hommes admirables qui n’ont d’autre boussole que le soin, d’autre préoccupation que l’humain, notre bien-être, notre vie, tout simplement.
(…)
C’est pourquoi je demande ce soir à toutes les personnes âgées de plus de 70 ans, à celles et ceux qui souffrent de maladies chroniques ou de troubles respiratoires, aux personnes en situation de handicap, de rester autant que possible à leur domicile. Elles pourront, bien sûr, sortir de chez elles pour faire leurs courses, pour s’aérer, mais elles doivent limiter leurs contacts au maximum.
(…)
Dès lundi et jusqu’à nouvel ordre, les crèches, les écoles, les collèges, les lycées et les universités seront fermés pour une raison simple : nos enfants et nos plus jeunes, selon les scientifiques toujours, sont celles et ceux qui propagent, semble-t-il, le plus rapidement le virus, même si, pour les enfants, ils n’ont parfois pas de symptômes et, heureusement, ne semblent pas aujourd’hui souffrir de formes aiguës de la maladie. C’est à la fois pour les protéger et pour réduire la dissémination du virus à travers notre territoire.
(…)
Dans le même temps, notre système de santé, notamment dans les services de réanimation, doit se préparer à accueillir de plus en plus de cas graves de Covid-19 et continuer à soigner les autres malades. Des places doivent se libérer dans les hôpitaux. Pour cela, toutes les capacités hospitalières nationales ainsi que le maximum de médecins et de soignants seront mobilisés (1). Nous allons aussi mobiliser (2) les étudiants, les jeunes retraités. Des mesures exceptionnelles seront prises en ce sens. Beaucoup, d’ailleurs, ont commencé. Je veux les remercier. J’ai vu il y a quelques jours, au Samu de Paris, une mobilisation (3) magnifique, émouvante, exemplaire, où des étudiants, à quelques mois de leur concours, étaient là pour répondre aux appels, aider, et où des médecins à peine retraités étaient revenus pour prêter main forte. C’est cela que nous allons collectivement généraliser en prenant les bonnes mesures. En parallèle, les soins non essentiels à l’hôpital seront reportés, c’est à dire les opérations qui ne sont pas urgentes, tout ce qui peut nous aider à gagner du temps. La santé n’a pas de prix. Le Gouvernement mobilisera (5) tous les moyens financiers nécessaires pour porter assistance, pour prendre en charge les malades, pour sauver des vies quoi qu’il en coûte. Beaucoup des décisions que nous sommes en train de prendre, beaucoup des changements auxquels nous sommes en train de procéder, nous les garderons parce que nous apprenons aussi de cette crise, parce que nos soignants sont formidables d’innovation et de mobilisation (6), et ce que nous sommes en train de faire, nous en tirerons toutes les leçons et sortirons avec un système de santé encore plus fort.
La mobilisation générale (1) est également celle de nos chercheurs. De nombreux programmes français et européens, essais cliniques, sont en cours pour produire en quantité des diagnostics rapides, performants et efficaces. Nous allons améliorer les choses en la matière, et au niveau français comme européen, les travaux sont lancés. Nos professeurs, avec l’appui des acteurs privés, travaillent d’ores et déjà sur plusieurs pistes de traitement à Paris, Marseille et Lyon, entre autres. Les protocoles ont commencé. J’espère que dans les prochaines semaines et les prochains mois, nous aurons des premiers traitements que nous pourrons généraliser. L’Europe a tous les atouts pour offrir au monde l’antidote au Covid-19. Des équipes sont également à pied d’oeuvre pour inventer un vaccin. Il ne pourra pas voir le jour avant plusieurs mois, mais il est porteur de grands espoirs. La mobilisation (7) de notre recherche française, européenne, est aussi au rendez-vous et je continuerai de l’intensifier.
Cette épreuve exige aussi une mobilisation sociale (1) envers les plus démunis, les plus fragiles. La trêve hivernale sera reportée de deux mois, et je demande au Gouvernement des mesures exceptionnelles, dans ce contexte, pour les plus fragiles. Enfin, l’épreuve que nous traversons exige une mobilisation générale (2) sur le plan économique. Déjà, des restaurateurs, des commerçants, des artisans, des hôteliers, des professionnels du tourisme, de la culture, de l’événementiel, du transport souffrent, je le sais. Les entrepreneurs s’inquiètent pour leurs carnets de commandes, et tous, vous vous interrogez pour votre emploi, pour votre pouvoir d’achat. Je le sais, c’est légitime. Avec les décisions que je viens d’annoncer ce soir, cette inquiétude économique va évidemment s’accroître.
Nous n’ajouterons pas aux difficultés sanitaires la peur de la faillite pour les entrepreneurs, l’angoisse du chômage et des fins de mois difficiles pour les salariés. Aussi, tout sera mis en oeuvre pour protéger nos salariés et pour protéger nos entreprises quoi qu’il en coûte, là aussi. Dès les jours à venir, un mécanisme exceptionnel et massif de chômage partiel sera mis en oeuvre. Des premières annonces ont été faites par les ministres. Nous irons beaucoup plus loin. L’Etat prendra en charge l’indemnisation des salariés contraints à rester chez eux. Je veux, en la matière, que nous nous inspirions de ce que les Allemands ont su par exemple mettre en oeuvre avec un système plus généreux, plus simple que le nôtre. Je veux que nous puissions préserver les emplois et les compétences, c’est à dire faire en sorte que les salariés puissent rester dans l’entreprise, même s’ils sont obligés de rester à la maison, et que nous les payions. Je veux que nous puissions protéger aussi nos indépendants. Nous prendrons toutes les mesures nécessaires pour donner cette garantie sur le plan économique.
Toutes les entreprises qui le souhaitent pourront reporter sans justification, sans formalité, sans pénalité le paiement des cotisations et impôts dus en mars. Nous travaillerons ensuite sur les mesures nécessaires d’annulation ou de rééchelonnement, mais je nous connais collectivement, on prend toujours trop de temps à faire cela. Je veux, pour nos forces économiques, des mesures simples. Les échéances qui sont dues dans les prochains jours et les prochaines semaines seront suspendues pour toutes celles et ceux qui en ont besoin. Nous défendrons nos entreprises de toutes tailles. Nous défendrons l’ensemble des travailleurs et des travailleuses. En parallèle, j’ai demandé au Gouvernement de préparer d’ores et déjà un plan de relance national et européen cohérent avec nos priorités et nos engagements pour l’avenir.
Nous devons aussi porter une réponse européenne. La Banque centrale a déjà, aujourd’hui, fait part de ses premières décisions. Seront-elles suffisantes ? Je ne le crois pas. Il lui appartiendra d’en prendre de nouvelles. Mais je vais être là aussi très clair avec vous ce soir : nous, Européens, ne laisserons pas une crise financière et économique se propager. Nous réagirons fort et nous réagirons vite. L’ensemble des gouvernements européens doit prendre les décisions de soutien de l’activité puis de relance quoi qu’il en coûte. La France le fera, et c’est cette ligne que je porterai au niveau européen en votre nom. C’est déjà ce que j’ai fait lors du conseil exceptionnel qui s’est tenu hier. Je ne sais ce que les marchés financiers donneront dans les prochains jours, et je serai tout aussi clair. L’Europe réagira de manière organisée, massive pour protéger son économie. Je souhaite aussi que nous puissions nous organiser sur le plan international, et j’en appelle à la responsabilité des puissances du G7 et du G20. Dès demain, j’échangerai avec le président TRUMP pour lui proposer une initiative exceptionnelle entre les membres du G7, puisque c’est lui qui a la présidence. Ce n’est pas la division qui permettra de répondre à ce qui est aujourd’hui une crise mondiale, mais bien notre capacité à voir juste et tôt ensemble et à agir ensemble.
Mes chers compatriotes, toutes ces mesures sont nécessaires pour notre sécurité à tous et je vous demande de faire bloc autour d’elles. On ne vient pas, en effet, à bout d’une crise d’une telle ampleur sans faire bloc. On ne vient pas à bout d’une crise d’une telle ampleur sans une grande discipline individuelle et collective, sans une unité. J’entends aujourd’hui, dans notre pays, des voix qui vont en tous sens. Certains nous disent : « vous n’allez pas assez loin » et voudraient tout fermer et s’inquiètent de tout, de manière parfois disproportionnée, et d’autres considèrent que ce risque n’est pas pour eux. J’ai essayé de vous donner, ce soir, ce qui doit être la ligne de notre Nation tout entière. Nous devons aujourd’hui éviter deux écueils, mes chers compatriotes.
D’une part, le repli nationaliste. Ce virus n’a pas de passeport. Il nous faut unir nos forces, coordonner nos réponses, coopérer. La France est à pied d’oeuvre. La coordination européenne est essentielle, et j’y veillerai. Nous aurons sans doute des mesures à prendre, mais il faut les prendre pour réduire les échanges entre les zones qui sont touchées et celles qui ne le sont pas. Ce ne sont pas forcément les frontières nationales. Il ne faut céder là à aucune facilité, aucune panique. Nous aurons sans doute des mesures de contrôle, des fermetures de frontières à prendre, mais il faudra les prendre quand elles seront pertinentes et il faudra les prendre en Européens, à l’échelle européenne, car c’est à cette échelle-là que nous avons construit nos libertés et nos protections.
(…)
Je compte sur vous toutes et tous pour faire Nation au fond. Pour réveiller ce qu’il y a de meilleur en nous, pour révéler cette âme généreuse qui, par le passé, a permis à la France d’affronter les plus dures épreuves.
Mes chers compatriotes, il nous faudra demain tirer les leçons du moment que nous traversons, interroger le modèle de développement dans lequel s’est engagé notre monde depuis des décennies et qui dévoile ses failles au grand jour, interroger les faiblesses de nos démocraties. Ce que révèle d’ores et déjà cette pandémie, c’est que la santé gratuite sans condition de revenu, de parcours ou de profession, notre Etat-providence ne sont pas des coûts ou des charges mais des biens précieux, des atouts indispensables quand le destin frappe. Ce que révèle cette pandémie, c’est qu’il est des biens et des services qui doivent être placés en dehors des lois du marché. Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner notre cadre de vie au fond à d’autres est une folie. Nous devons en reprendre le contrôle, construire plus encore que nous ne le faisons déjà une France, une Europe souveraine, une France et une Europe qui tiennent fermement leur destin en main. Les prochaines semaines et les prochains mois nécessiteront des décisions de rupture en ce sens. Je les assumerai.
Mais le temps, aujourd’hui, est à la protection de nos concitoyens et à la cohésion de la Nation. Le temps est à cette union sacrée qui consiste à suivre tous ensemble un même chemin, à ne céder à aucune panique, aucune peur, aucune facilité, mais à retrouver cette force d’âme qui est la nôtre et qui a permis à notre peuple de surmonter tant de crises à travers l’histoire.
La France unie, c’est notre meilleur atout dans la période troublée que nous traversons. Nous tiendrons tous ensemble.
Vive la République !
Vive la France !«
Macron évoque d’abord la « mobilisation » qu’il utilise, sous plusieurs formes à quatre reprises avant de parler de « généralisation« . Après avoir utilisé les deux mots séparément, il peut les joindre ensemble pour parler de « mobilisation générale« . Une technique très intelligente et bien rodée. De la mobilisation générale à la guerre, il n’y a qu’un pas. Les deux guerres mondiales ont toujours vu une mobilisation générale avant la guerre. C’était de mauvais augure.
La déclaration de guerre interviendra quatre jours plus tard, dans une allocution télévisée du 16 mars 2020.
« Françaises, Français,
Jeudi soir, je me suis adressé à vous pour évoquer la crise sanitaire que traverse notre pays. Jusqu’alors, l’épidémie était peut-être pour certains une idée lointaine, elle est devenue une réalité immédiate, pressante.Le Gouvernement a pris, comme je vous l’avais annoncé, des dispositions fermes pour freiner la propagation du virus. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les universités sont fermées depuis ce jour. Samedi soir, les restaurants, tous les commerces non-essentiels à la vie de la Nation ont également clôt leurs portes. Les rassemblements de plus de 100 personnes ont été interdits. Jamais la France n’avait dû prendre de telles décisions – évidemment exceptionnelles, évidemment temporaires – en temps de Paix. Elles ont été prises avec ordre, préparation, sur la base de recommandations scientifiques avec un seul objectif : nous protéger face à la propagation du virus.
(…)
Faisons preuve au fond d’esprit solidaire et de sens des responsabilités. Chacun d’entre nous doit à tout prix limiter le nombre de personnes avec qui il est en contact chaque jour. Les scientifiques le disent, c’est la priorité absolue. C’est pourquoi, après avoir consulté, écouté les experts, le terrain et en conscience, j’ai décidé de renforcer encore les mesures pour réduire nos déplacements et nos contacts au strict nécessaire. Dès demain midi et pour 15 jours au moins, nos déplacements seront très fortement réduits.
Cela signifie que les regroupements extérieurs, les réunions familiales ou amicales ne seront plus permises. Se promener, retrouver ses amis dans le parc, dans la rue, ne sera plus possible. Il s’agit de limiter au maximum ces contacts au-delà du foyer. Partout sur le territoire français, en métropole comme Outre-mer, seuls doivent demeurer les trajets nécessaires, nécessaires pour aller faire ses courses avec de la discipline et en mettant les distances d’au moins un mètre, en ne serrant pas la main, en ne s’embrassant pas, les trajets nécessaires pour se soigner, évidemment, les trajets nécessaires pour aller travailler si le travail à distance n’est pas possible et les trajets nécessaires pour faire un peu d’activité physique mais sans retrouver, là encore, des amis ou des proches. Toutes les entreprises doivent s’organiser pour faciliter le travail à distance, et quand cela ne sera pas possible, elles devront adapter dès demain leur organisation pour faire respecter ces gestes barrières contre le virus, c’est à dire protéger leurs salariés, ou, quand il s’agit d’indépendants, se protéger eux-mêmes. Le Gouvernement précisera les modalités de ces nouvelles règles dès ce soir, après mon allocution. Toute infraction à ces règles sera sanctionnée. Je vous le dis avec beaucoup de solennité ce soir, écoutons les soignants, qui nous disent : si vous voulez nous aider, il faut rester chez vous et limiter les contacts. C’est le plus important. Evidemment, ce soir, je pose des règles nouvelles, nous posons des interdits, il y aura des contrôles. Mais la meilleure règle, c’est celle qu’en tant que citoyen, vous vous appliquez à vous-mêmes. Une fois encore, j’en appelle à votre sens des responsabilités et de la solidarité.
Dans ce contexte, après avoir consulté le Président du Sénat, le Président de l’Assemblée nationale mais également mes prédécesseurs, j’ai décidé que le second tour des élections municipales serait reporté. Le Premier ministre en a informé aujourd’hui même les chefs de parti représentés au Parlement. Cette décision a fait l’objet d’un accord unanime.
Mes chers compatriotes, je mesure l’impact de toutes ces décisions sur vos vies. Renoncer à voir ses proches, c’est un déchirement ; stopper ses activités quotidiennes, ses habitudes, c’est très difficile. Cela ne doit pas nous empêcher de garder le lien, d’appeler nos proches, de donner des nouvelles, d’organiser aussi les choses avec nos voisins, d’inventer de nouvelles solidarités entre générations, de rester, comme je vous l’ai dit jeudi dernier, profondément solidaires et d’innover là aussi sur ce point. Je sais que je vous demande de rester chez vous. Je vous demande aussi de garder le calme dans ce contexte. J’ai vu, ces dernières heures, des phénomènes de panique en tout sens. Nous devons tous avoir l’esprit de responsabilité. Il ne faut pas que les fausses informations circulent à tout va. En restant chez vous, occupez-vous des proches qui sont dans votre appartement, dans votre maison. Donnez des nouvelles, prenez des nouvelles. Lisez, retrouvez aussi ce sens de l’essentiel. Je pense que c’est important dans les moments que nous vivons. La culture, l’éducation, le sens des choses est important. Et évitez l’esprit de panique, de croire dans toutes les fausses rumeurs, les demi-experts ou les faux-sachants. La parole est claire, l’information est transparente et nous continuerons de la donner. Mais croyez-moi, cet effort que je vous demande, je sais qu’il est inédit mais les circonstances nous y obligent.
Nous sommes en guerre (1), en guerre (2) sanitaire, certes : nous ne luttons ni contre une armée, ni contre une autre Nation. Mais l’ennemi est là, invisible, insaisissable, qui progresse. Et cela requiert notre mobilisation générale.
Nous sommes en guerre (3). Toute l’action du Gouvernement et du Parlement doit être désormais tournée vers le combat contre l’épidémie. De jour comme de nuit, rien ne doit nous en divertir. C’est pourquoi, j’ai décidé que toutes les réformes en cours seraient suspendues, à commencer par la réforme des retraites. Dès mardi, en Conseil des ministres, sera présenté un projet de loi permettant au gouvernement de répondre à l’urgence et, lorsque nécessaire, de légiférer par ordonnances dans les domaines relevant strictement de la gestion de crise. Ce projet sera soumis au Parlement dès jeudi.
J’ai vu tout à l’heure les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat afin que ces textes soient votés le plus rapidement possible, afin aussi que la vie démocratique et le contrôle du Parlement continue dans cette période. Je les en remercie et je remercie tous nos parlementaires en cet instant.
Nous sommes en guerre (4). J’appelle tous les acteurs politiques, économiques, sociaux, associatifs, tous les Français à s’inscrire dans cette union nationale qui a permis à notre pays de surmonter tant de crises par le passé.Nous sommes en guerre (5). La Nation soutiendra ses enfants qui, personnels soignants en ville, à l’hôpital, se trouvent en première ligne dans un combat qui va leur demander énergie, détermination, solidarité. Ils ont des droits sur nous. Nous leur devons évidemment les moyens, la protection. Nous serons là. Nous leur devons des masques, du gel, tout le matériel nécessaire et nous y veillons et veillerons. Nous avons décidé avec les scientifiques de réserver les masques en priorité pour l’hôpital et pour la médecine de ville et de campagne, en particulier les généralistes, les infirmières désormais en première ligne aussi dans la gestion de la crise. Des masques seront livrés dans les pharmacies dès demain soir dans les 25 départements les plus touchés. Mercredi pour le reste du territoire national. J’ai aussi entendu le message des spécialistes, en particulier des chirurgiens-dentistes et beaucoup d’autres. Des solutions seront trouvées avec le Ministre de la Santé dans les prochaines heures.
Nous devons aussi aux soignants la garde de leurs enfants : un service minimum de garde est en place depuis ce jour dans les crèches et dans les écoles. Nous leur devons aussi sérénité dans leurs déplacements et repos. C’est pourquoi j’ai décidé que, dès demain, les taxis et les hôtels pourront être mobilisés à leur profit. L’Etat paiera.
Nous sommes en guerre (6), oui. Le pays accompagnera dans cette période les régions les plus touchées aujourd’hui comme celles qui le seront demain. A ce titre, je veux assurer les habitants et les personnels soignants du Grand Est que nous serons au rendez-vous pour les appuyer face à l’afflux de patients et à la saturation des hôpitaux. Je sais ce qu’ils vivent depuis des jours et des jours, nous sommes avec eux. J’ai décidé pour cela qu’un hôpital de campagne du service de santé des armées serait déployé dans les jours à venir en Alsace. Les armées apporteront aussi leur concours pour déplacer les malades des régions les plus affectées et ainsi réduire la congestion des hôpitaux de certains territoires.
Nous sommes en guerre (7). Comme je vous l’ai dit jeudi, pour nous protéger et contenir la dissémination du virus mais aussi préserver nos systèmes de soins, nous avons pris ce matin entre Européens une décision commune. Dès demain midi, les frontières à l’entrée de l’Union européenne et de l’espace Schengen seront fermées. Concrètement, tous les voyages entre les pays non-européens et l’Union européenne seront suspendus pendant 30 jours. Les Françaises et les Français qui sont actuellement à l’étranger et souhaitent rentrer pourront bien entendu rejoindre leur pays.
(…)
Hissons-nous individuellement et collectivement à la hauteur du moment.
Je sais mes chers compatriotes pouvoir compter sur vous.
Vive la République, vive la France !«
Au début de son discours, il reprend les décisions qui ont été prises le 12 mars 2020 en expliquant qu’elles ont été prises « en temps de paix » (« Jamais la France n’avait dû prendre de telles décisions – évidemment exceptionnelles, évidemment temporaires – en temps de Paix« ).
Mais la guerre arrive.
Quelques minutes, plus tard, il va répéter à sept reprises, « nous sommes en guerre« . Mais pas n’importe quelle guerre, une « guerre sanitaire » contre un ennemi « invisible et insaisissable » (comme c’est pratique). Pour mener cette guerre, il faut une « mobilisation générale« , nous dit-il.
Comme à chaque fois que j’entends un interlocuteur dire « nous« , je lui demande à chaque fois, « c’est qui nous ?« .
Toute la question est là.
Qui est en guerre ? Et surtout contre qui ?
Car si le virus n’a pas de passeport, il est porté par un individu. Je ne me lancerais pas sur ce débat dans cet article. J’ai longuement abordé cette question depuis deux ans dans mes précédents articles. L’important était de montrer que le troisième antéchrist est une guerre qui a commencé en 2020 contre un ennemi invisible et insaisissable, un ennemi qui ne porte pas de passeport.
Depuis le 24 février 2022, Emmanuel Macron est de nouveau en guerre, mais cette fois contre un ennemi qui porte désormais un passeport et qui n’est plus invisible.
« Françaises, Français,
Mes chers compatriotes,
Cette nuit, la Russie a engagé une attaque militaire massive contre l’Ukraine.Ce choix délibéré, qui contrevient à tous les engagements pris par les autorités russes, est une violation de la Charte des Nations unies et des principes fondateurs de l’ordre européen et international.
Dans cette épreuve, la France se tient aux côtés de l’Ukraine. Je veux saluer le courage et la détermination du Président ukrainien, des autorités et du peuple. Leur liberté est la nôtre.
En reniant sa parole, en refusant la voie diplomatique, en choisissant la guerre (1), le Président Poutine n’a pas seulement attaqué l’Ukraine, il a décidé de bafouer la souveraineté de l’Ukraine. Il a décidé de porter l’atteinte la plus grave à la paix, à la stabilité dans notre Europe depuis des décennies.
Nous avions anticipé ensemble cette crise en menant un dialogue exigeant. Et aux cotés des alliés, des partenaires européens, nous avons tout fait pour l’éviter. Elle est là. Et nous sommes prêts.
A cet acte de guerre (2), nous répondrons sans faiblesse avec sang-froid, détermination et unité.
Nous prendrons des décisions lors du G7 cet après-midi, du Conseil européen qui se tiendra ce soir à Bruxelles et du sommet de l’OTAN qui se tiendra dans les prochaines heures.
Nous demanderons à la Russie de rendre des comptes au Conseil de sécurité des Nations unies et tâcherons de bâtir l’unité internationale.
Les sanctions portées à la Russie seront à la hauteur de l’agression dont elle se rend coupable.
Sur le plan militaire et économique autant que dans le domaine de l’énergie, nous serons sans faiblesse.Nous appuierons l’Ukraine, sans hésiter, et nous prendrons toutes nos responsabilités pour protéger la souveraineté et la sécurité de nos alliés européens.
Mes chers compatriotes,Les évènements de cette nuit sont un tournant dans l’Histoire de l’Europe et de notre pays. Ils auront des conséquences durables, profondes sur nos vies.
Ils auront des conséquences sur la géopolitique de notre continent et nous saurons ensemble y répondre.
Je veux vous dire ma détermination à vous protéger, sans relâche. Protéger nos compatriotes exposés en Ukraine, protéger tous les Français et prendre les décisions qui s’imposeront quant aux conséquences directes et indirectes de cette crise.
En ces heures troubles où renaissent les fantômes du passé et où les manipulations seront nombreuses, ne cédons rien de notre unité. Unité autour de nos principes de liberté, de souveraineté et de démocratie. Ces principes nous ont fait et continuent de nous tenir ensemble.
Un message de ma part sera prononcé demain au Parlement et je reviendrai vers vous dans les heures qui viennent afin de vous tenir informés de l’évolution de la situation et des décisions que je serai amené à prendre.
Vive la République.
Vive la France.«
L’antéchrist sera en guerre jusqu’en 2027 que ce soit contre un virus ou contre la Russie.
Or, Emmanuel Macron vient d’être réélu pour cinq ans supplémentaires, donc jusqu’en 2027.
Encore cinq ans à tenir…
Courage les amis.
Il faut aussi préciser que lorsque Nostradamus semble devoir parler d’Emmanuel Macron, il évoque à chaque fois le terme « monstre« .
Il y a le quatrain III-34 sur l’affaire Benalla et les gilets jaunes :
III-34 :
Quand le defaut du soleil lors sera,
Sus le plain jour le monstre sera veu :
Tout autrement on l’interpretera.
Cherté n’a garde : nul ny aura pourveu.
Lorsque se déroulera une éclipse lunaire (« Quand le defaut du soleil lors sera« ), on verra en plein jour (« Sus le plain jour« ) le vrai visage du monstre (« le monstre sera veu« ) en interprétant autrement des événements antérieurs (« Tout autrement on l’interpretera« ).
Il s’agit de l’éclipse du 27 juillet 2018. Ce qui frappe, c’est qu’elle intervient en pleine tourmente politique. Depuis le 19 juillet, les services du président de la République sont mis en cause dans leurs comportements. Alexandre Benalla, le garde du corps du président, arbore un brassard de police et un poste acropole (talkie walkie de la police) au milieu d’une manifestation du 1er mai contre Macron. On se rappelle que la journée avait été marquée par des incidents assez graves avec des blacks blocs, durant lesquels les forces de police avaient laissé les casseurs s’en donner à cœur joie, avant de finalement intervenir.
C’est à cause de cette affaire qu’une grave crise politique éclatera dans le pays, concernant le coût de la vie et la difficulté de se nourrir ou de se loger (« Cherté n’a garde« ). Personne ne l’aura anticipé (« nul ny aura pourveu« ). C’est la crise des gilets jaunes qui débuta le 17 novembre 2018 à cause de la hausse du prix de l’essence, des taxes sur les retraités et du développement de la misère sociale (« Cherté n’a garde« ).
Ce qui va servir de moteur à révolte, c’est le ton méprisant et condescendant d’Emmanuel Macron. Parmi ses outrances verbales, celle qu’il prononça au moment de l’affaire Benalla, va servir de prétexte au mouvement des gilets jaunes. « S’ils veulent un responsable, il est devant vous, qu’ils viennent le chercher« . Les manifestations sur les champs Élysées auront pour objectif de marcher sur le palais de l’Élysée pour aller chercher le président.
Autre quatrain, le VI-19 sur l’incendie de Notre Dame :
VI-19 :
La vraye flamme engloutira la dame,
Qui voudra mettre les Innocens à feu :
Près de l’assaut l’exercite s’enflamme,
Quant dans Seuille monstre en bœuf sera veu.
Je vous invite à lire mon interprétation du quatrain dans cet article. Nostradamus reprend son image du « monstre ». D’ailleurs, l’expression qu’utilise Nostradamus est « seuil monstre » qui me fait penser au titre d’un livre H. P. Lovecraft, « le monstre sur le seuil« . Le livre évoque l’histoire d’un homme possédé par un démon.
Emmanuel Macron a déclaré, le 16 avril 2020 que « la bête de l’événement est là, elle arrive« .
Le soir de sa « victoire », Macron organise une grande fête sur-le-champs de Mars. Il faut faire un décryptage approfondi de cette étrange cérémonie teinté de symbolique sataniste.
Le lieu n’a pas été choisi au hasard. Le champ de Mars (campus martius) était le lieu, à Rome où les armées allaient s’entraîner avant de partir à la guerre, c’est également là que se réunissait le peuple en armes pour fêter les grandes victoires… Décidément… Une obsession macronienne. Cela a été dit par plusieurs personnes. N’insistons pas, mais intéressons nous à la séquence avec la chanteuse en robe rouge qui interpréta « la marseillaise« . Alors bien sûr, je ne m’attaque pas à cette charmante demoiselle contre qui je n’ai rien de personnelle. En revanche, j’ai tout contre la symbolique sataniste qu’elle incarne.
L’élément le plus surprenant de cette scène, qui restera à coup sûr dans l’histoire, est que la cantatrice ne commence pas « la marseillaise » par le premier couplet, mais par « refrain ». Pas le refrain tout entier, mais en occultant la première phrase (« Aux armes, citoyens« ).
La cantatrice chante :
« Formez vos bataillons.
Marchons, marchons !
Qu’un sang impur Abreuve nos sillons !« .
Etonnante séquence.
Comme si Emmanuel Macron avait voulu nous faire passer un message.
On occulte « Aux armes citoyens » pour ne pas inciter le peuple à prendre les armes contre le « président » et la « république ».
Ensuite, on demande au peuple de se former en bataillons et de marcher. Il faut obéir et partir à la guerre. Le champ de Mars est un lieu approprié pour partir à la guerre, contre le « virus » ou contre « la Russie » ou d’autres ennemis encore à découvrir. La République est très forte pour s’inventer des ennemis.
Un sang impur doit abreuver la terre. De quel sang s’agit-il ? Celui des gilets jaunes, des gueux que l’on laisse mourir par vaccination ? Des futurs soldats dans une guerre contre la Russie ?
Une fois le refrain terminé, Emmanuel macron fait un geste de la main à la chanteue pour lui donner l’ordre de recommencer « la marseillaise » depuis le début. Ce qui fera dire à la journaliste de France 2 « Il faut qu’on vous explique ce qui viens de se passer« … son collège lui coupe la parole… puis elle dit « Nous avons eut le droit a une marseillaise et demie« .
A la fin de la chanson, Emmanuel Macron se dirige vers la femme en robe rouge pour lui baiser la main, comme un signe d’allégeance.
Cela me fait penser à plusieurs passages de l’Apocalypse de Saint-Jean concernant la bête et la femme écarlate.
« Puis l’un des sept anges qui portaient les sept coupes vint me parler en ces termes : « Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux, avec laquelle les rois de la terre se sont souillés, et qui a enivré les habitants de la terre du vin de son impudicité. » Et il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, et ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate ; et richement parée d’or, de pierres précieuses et de perles ; elle tenait à la main une coupe d’or, remplie d’abominations et des souillures de sa prostitution. Sur son front était un nom, nom mystérieux : » Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. » Je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des martyrs de Jésus ; et, en la voyant, je fus saisi d’un grand étonnement. » (Apocalypse, XVII : 1-6).
« Et l’ange me dit : « Pourquoi t’étonner ? Moi je vais te dire le mystère de la femme et de la bête qui la porte, et qui a les sept têtes et les dix cornes. La bête que tu as vue était et n’est plus ; elle doit remonter de l’abîme, puis s’en aller à la perdition. Et les habitants de la terre, dont le nom n’est pas écrit dès la fondation du monde dans le livre de la vie, seront étonnés en voyant la bête, parce qu’elle était, qu’elle n’est plus, et qu’elle reparaîtra. (…) Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept rois : Les cinq premiers sont tombés, l’un subsiste, l’autre n’est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps. Et la bête qui était et qui n’est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s’en va à la perdition. Et les dix cornes que tu as vues sont dix rois qui n’ont pas encore reçu la royauté, mais qui recevront un pouvoir de roi pour une heure avec la bête. Ceux-ci ont un seul et même dessein, et ils mettent au service de la bête leur puissance et leur autorité. Ils feront la guerre à l’Agneau, mais l’Agneau les vaincra, parce qu’il est Seigneur des seigneurs et Roi des rois, et ceux qui l’accompagnent sont les appelés, les élus et les fidèles. » » (Apocalypse, XVII : 7-14).
Une scène surréaliste qui a été trop peu noté par les spécialistes de la question. Il faut diffuser la photo et en parler autour de vous.
Au moins, nous sommes sûrs que la chanteuse est une femme… Contrairement à une autre « créature » en robe rouge…
A la lecture de mon article, on comprend aisément que toutes les pièces s’imbriquent parfaitement pour que se joue un terrible drame jusqu’en 2027. Mais ne perdons pas espoir, car celui qui va combattre la bête arrive, lui aussi. Nous aurons bientôt notre champion.