La stigmatisée bretonne, Marie-Julie Jahenny évoque l’Assemblée nationale républicaine en parlant de « salle de l’enfer » ou de « salle de Satan ».
« Notre-Seigneur dit :
(…)
Mes enfants, n’attendez rien de ces hommes qui ont, pour gouverner, une apparence de puissance. Je vous préviens qu’un assaut épouvantable ne va pas tarder à sortir de cette salle de l’enfer, comme je l’ai déjà nommée. C’est le grand moment… déjà ces hommes corrompus sont entrés dans l’infernal corridor qui conduit à l’heure du crime effroyable.
Les bons catholiques, qui combattent dans cette salle de Satan, ne vont pas remporter la victoire qu’ils désirent. Ils seront combattus et noircis par le grand nombre… Que leur défaite ne vous affaiblisse donc pas ! Tout est écrit dans mon coeur… Le lys sera pour la France, ressuscitée après bien des maux.
Par endroits, la terre sera comme une mer rouge. Le sang y coulera à torrents… La terre est à la veille d’être abreuvée du sang de ses enfants. Il est impossible de sauver votre patrie sans les coups foudroyants de ma colère. Je vous préviens ; ne perdez pas courage. Attendez. » (5 août 1879).
Même si la qualification de « salle de Satan » pourrait concerner l’ensemble des assemblées élu sous les républiques, Cette description semble devoir concerner celle élue en mai 2017 sous la présidence de Macron (le poteau de boue).
Il est question d’un crime effroyable (corona-virus, confinement et effondrement économique…). Le plus grand nombre, c’est-à-dire le peuple entraînera sa défaite et rétablira le lys sur la France, c’est-à-dire un roi.
« Le Saint Archange retire la flamme de son épée et met à la place une lame tranchante. Il dit :
Marchons sur ces ennemis infernaux… Dans cette salle de l’enfer, on travaille à tous les métiers. Il y en a de toutes races, de toutes manières – je ne veux pas dire manières de quoi, car je ne veux empester personne – En ce moment on prépare les filets… on travaille sans repos ni paix. Sans paix… je veux dire qu’ils ne s’entendent même pas… c’est un véritable hurlement…
Dans ce fourneau de tous les venins, de toutes les vermines, je sépare, un moment ce qu’il y a de respectable : ceux qui ont la foi. Ceux-là seront combattus, contredits, à l’étroit. On prend des mesures pour renvoyer, si c’est possible. Ces moyens réussiront…
Il y en a dont le nom est cher aux amis de Dieu et qui, avant de se retirer, feront un effort très grand et parleront d’une voix très haute qui écrasera les suppôts de cette salle.
… Celui qui a déjà fait tant de bruit, et qui parle comme un oracle de l’enfer, est encore prêt à se faire entendre…
– Je n’aime point cela, saint-Michel.
– Et tous les assistants ne demandent qu’à entendre la parole du Président Infernal. Il est sur le trône de l’enfer ; il y grille et ne sent pas le feu… » (29 septembre 1879)