Site icon Astrologie-mondiale.com

Le journal de la campagne présidentielle de 2022 (16 et fin).

24 avril 2022.

Jour d’élection en France. Deuxième tour du scrutin comme une formalité pour la réélection « triomphale » du dictateur Emmanuel Macron. La même pantomime électorale que sous l’Union soviétique avec Staline ou dans la Chine de Mao. Hitler aussi organisa des simulacres d’élection. Il y aura désormais la France d’Emmanuel Macron. Les manuels d’histoire du futur en parleront. Mais dans l’instant, présent, nous devons subit l’infamie d’être jeté en pâture médiatiquement, nous les diseurs de vérité.

Le code électoral interdit toute propagande électorale dans et au abord des bureaux de vote.

Emmanuel Macron va voter dans la ville du Touquet. Au abord de son bureau de vote, la foule est là. Il sert des paluches, rigole, répond à quelques questions des journalistes. Le tout en direct devant toutes les chaînes de télévision. Il est le seul candidat à le faire. Cela ne pose aucun problème à nos « journalistes ». Normal, nous sommes dans une république bananière.

En même temps, Jean Lassalle va lui aussi va mettre en scène son abstention. Mais là, pour lui, toute la classe politico-médiatique va se lever comme un seul homme. Après son passage dans l’isoloir, s’être présenté devant l’urne, il décide subitement de retirer le bulletin de son enveloppe et de tendre l’enveloppe vide à l’assesseur. Il dit : « Pour la première fois de ma vie d’homme, ici dans cette mairie, je vais poser l’un des actes les plus importants de ma vie. Je refuse de participer à ce vote, je m’abstiens.« 

——————————————————

18h19, selon les sites Internet des journaux belges, Emmanuel Macron serait en tête dans quatre instituts de sondages réalisés sur Internet auprès de gens ayant voté jusqu’à 17 h. Emmanuel Macron est crédité de 55 % à 58 des voix, alors que Marine Le Pen recueillerait entre 42 et 45 % des suffrages.

———————————————

20 heures : les télévisions annoncent le résultat.

Macron : 58 %.

Le Pen : 42 %.

Exactement le score qui avait été diffusé par les médias belges deux heures plus tôt.

Comme il y a cinq ans

—————————————————

21 h 12 sur France 2. Le présentateur Jean-Baptiste Marteau, explique qu’il dispose du décompte des voix en direct du ministère de l’Intérieur. Le résultat s’affiche sur l’écran.

« On est connectés en direct avec le ministère de l’Intérieur. Dès qu’un bureau de vote est validé, il apparaît là, et vous voyez le nombre de voix par candidat.« 

Il faut expliquer la chose. Cela n’est pas connu du grand public. Beaucoup de bêtises ont été racontées sur Internet, par des gens qui n’y connaissent rien.

Après le décompte des bulletins dans les bureaux de vote, le procès-verbal des résultats est envoyé en mairie qui réalise un décompte des voix pour sa ville. Les résultats par villes remontent dans la préfecture du département pour une centralisation. Les résultats de chaque préfecture remontent au ministère de l’Intérieur.

Les procès verbaux transite par l’intranet du Ministère de l’Intérieur.

J’ai lu sur certains documents qui contestaient le résultat de la présidentielle que le transfert des documents se passait sur le site « data.gouv.fr« . Que ce site serait hébergé aux USA.

« data.gouv.fr » est un site de source ouverte de l’Etat français, crée en 2011. Il me paraît peut probable que les procès-verbaux passent par lui, car ses documents ne sont pas des sources ouvertes. Nous pouvons le déplorer. De même, en recherchant sur le site « myip.ms » on découvre qu’il est géré par OVH et hébergé sur un serveur en Espagne.

A mon époque (et cela, semble toujours le cas, aujourd’hui), les résultats sont affichés en direct sur le site internet « https://www.resultats-elections.interieur.gouv.fr/ ». Sur ce site, dont j’ai déjà parlé dans mon précédent journal présidentiel. France 2, c’est donc simplement branché sur ce site internet.

La vidéo de la soirée électorale est disponible sur le site de France télévision. La vidéo n’a pas encore été supprimée. J’ai fait des captures d’écran (par précaution).

Que voit-on sur l’écran ?

Emmanuel Macron : 13 697 236 voix.

Marine Le Pen : 13 899 494 voix.

Au total : 27 596 730 de voix.

Marine Le Pen en tête de 202 258 voix.

Entre le début et la fin de sa présentation, le score se modifiera.

Emmanuel Macron : 14 214 825 voix.

Marine Le Pen : 14 432 396 voix.

Au total : 28 647 221 de voix.

Marine Le Pen en tête de 217 571 voix.

————————————–

Pendant ce temps-là, Emmanuel Macron se rend en voiture au Champs de mars où une foule éparse et pas très nombreuse, l’attend. Etonnante scène. Alors que les sondages le donnent vainqueur avec 58 % des voix, il reste derrière Marine Le Pen en nombre de voix. 217 000 voix d’avance selon le décompte du ministère de l’Intérieur à 21 h 19. Parfois, les sondages se trompent lourdement, je l’ai déjà vue.

La prudence voudrait que l’on ne proclame pas tout de suite le vainqueur. Il vrai que son adversaire du soir, avait joué le « jeu » truqué du scrutin en reconnaissant sa victoire. Elle dit d’ailleurs, dès le début, qu’elle respect le résultat du vote. Une phrase qui raisonne étrangement. Marine Le Pen ira même jusqu’à téléphoner à Macron pour le féliciter. Comme au Etats-Unis. Macron, Le Pen même combat contre les Français. L’une comme l’autre sont à jeter dans les poubelles de l’histoire.

————————————–

22 h 22. Jean-Baptiste Marteau fait, de nouveau, le point sur les résultats.

Etrangement, le décompte des voix en direct du ministère de l’Intérieur à disparu. On trouve à la place la carte des résultats du deuxième tour de 2017.

Etrange.

Que se passe-t-il ?

——————————————–

22 h 47. Point sur la situation des scores par Monsieur Marteau.

Surprise, le panneau est revenus. Marine Le Pen et Emmanuel Macron ont perdu des voix.

Oui, oui, vous ne rêvez pas.

C’est la première fois que je vois cela.

Emmanuel Macron : 13 946 092 voix

Marine Le Pen : 11 558 051 voix.

Total : 25 504 143 voix.

Emmanuel Macron a perdu 268 733 voix.

Marine Le Pen à perdu 2 874 345 voix. Chiffre considérable.

Marcon est désormais en tête avec 2 388 041 de voix.

Nous avons la preuve sous nos yeux de la fraude massive durant l’élection présidentielle. Plus personne, ne pourra nier, sans être complice de ce qui se passe. Les chiffres affichés sur France 2 correspondent au décompte officiel du ministère de l’Intérieur, sur un site dédié aux élections auxquelles tout citoyen à accès. Je n’ai pas fait de capture d’écran du site du ministère de l’Intérieur et à ma connaissance, je n’ai pas vu de capture d’écran circuler.

Seul, est disponible aujourd’hui sur ce site, le résultat final de l’élection dont voici la capture d’écran.

Il y avait déjà eu un problème sur ce site au premier tour. Il s’était écoulé un délai anormalement long pour obtenir le résultat final. A l’époque, j’avais fait des captures d’écran (voir l’un de mes précédents journaux de la présidentielle). Pour ceux qui surveillent la fraude aux élections, c’est ici qu’il faut surveiller.

Un recours a été déposé par le cabinet d’avocat Protat au nom de l’Association « Bon sens.org ». Un cabinet associé avec un avocat américain (Snyder).

27 avril 2022.

Décision du Conseil constitutionnel sur le contentieux du deuxième tour de l’élection présidentielle et sur la proclamation des résultats. Trois jours après le scrutin. C’est simplement hallucinant. Trois jours pour juger de l’intégralité du contentieux, de milliers de bureaux de vote et plusieurs dizaines de millions de voix. Il faut prendre conscience que c’est matériellement impossible. Le système encourage la fraude. Tout est fait pour protéger les fraudeurs.

Il faut le dire et le répéter. Tout est fait pour empêcher le recours des citoyens contre l’élection.

La fraude se situe aussi à ce niveau. Rendre les délais de contestation très compliqués par un délai tellement cours que personne ne peut contester le résultat. Cela n’est pas nouveau, je l’entends très bien. Mais la fraude aussi n’est pas nouvelle, elle fait partie intégrante du système républicain. Mes lecteurs doivent en prendre conscience. Ceux qui vous disent le contraire sont complices de ce régime.

C’est toujours un bonheur de lire la décision du Conseil constitutionnel sur le contentieux électoral. Tellement représentatif de l’escroquerie républicaine.

« Au vu des pièces suivantes :

– les procès-verbaux établis par les commissions de recensement ainsi que les procès-verbaux des opérations de vote portant mention des réclamations présentées par des électeurs et les pièces jointes, pour l’ensemble des départements, la Polynésie française, les îles Wallis et Futuna, la Nouvelle-Calédonie, Saint-Martin, Saint-Barthélemy et Saint-Pierre-et-Miquelon ;

– les résultats consignés dans les procès-verbaux des commissions électorales instituées respectivement par l’article 14 de la loi organique du 31 janvier 1976 mentionnée ci-dessus et le paragraphe VI de l’article 3 de la loi du 6 novembre 1962 mentionnée ci-dessus ainsi que les réclamations présentées par des électeurs et mentionnées dans les procès-verbaux des opérations de vote ;

– les réclamations qui ont été adressées au Conseil constitutionnel ;

– les rapports des délégués du Conseil constitutionnel ;

Après avoir entendu les rapporteurs ;

Après avoir rejeté comme irrecevables les réclamations parvenues directement au Conseil constitutionnel en méconnaissance du premier alinéa de l’article 30 du décret du 8 mars 2001 mentionné ci-dessus ;

Après avoir statué sur les réclamations mentionnées dans les procès-verbaux des opérations de vote, opéré diverses rectifications d’erreurs matérielles, procédé aux redressements qu’il a jugé nécessaires et aux annulations énoncées ci-après ;

S’EST FONDÉ SUR CE QUI SUIT :

– Sur les opérations électorales :

1. Dans la commune de Lourdios-Ichère (Pyrénées-Atlantiques), dans laquelle 90 suffrages ont été exprimés, il résulte de l’instruction que M. Jean LASSALLE a publiquement mis en scène, dans le bureau de vote, son abstention et a pris la parole, face à des caméras présentes dans ce bureau, pour exprimer, devant l’urne, son refus de participer à l’élection. Il a immédiatement diffusé sur les réseaux sociaux cette vidéo, ainsi que des commentaires sur son geste. M. LASSALLE a, d’une part, ainsi méconnu les dispositions de l’article L. 49 du code électoral prohibant la diffusion de messages à caractère de propagande électorale la veille et le jour du scrutin et, d’autre part, par son comportement, porté atteinte au respect dû à la dignité des opérations électorales auxquelles il a participé en qualité de candidat au premier tour. Ces agissements ont, eu égard à la notoriété de M. LASSALLE dans la commune de Lourdios-Ichère et à sa qualité de député et d’ancien maire, été de nature à altérer la sincérité du scrutin dans cette commune. Il y a lieu, par suite, indépendamment des éventuelles poursuites pénales qui seraient susceptibles d’être engagées, d’annuler les suffrages exprimés dans cette commune.

2. Dans la commune de Cizancourt (Somme), dans laquelle 25 suffrages ont été exprimés, le magistrat délégué du Conseil constitutionnel a constaté que le scrutin s’est déroulé dans une église où le confessionnal servait d’isoloir. Le déroulement du scrutin dans ce lieu de culte étant de nature à porter atteinte à la liberté et à la sincérité du scrutin, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans cette commune.

3. Dans le bureau de vote n° 1 de la commune d’Audincthun (Pas-de-Calais), dans lequel 291 suffrages ont été exprimés, dans la commune de Besse (Cantal), dans laquelle 80 suffrages ont été exprimés, dans la commune de Grâce-Uzel (Côtes-d’Armor), dans laquelle 244 suffrages ont été exprimés, dans les bureaux de vote n° 1 et n° 2 de la commune de Montigny-sur-Loing (Seine-et-Marne), dans lesquels ont été respectivement exprimés 769 et 765 suffrages, ainsi que dans la commune de Meilleray (Seine-et-Marne), dans laquelle 233 suffrages ont été exprimés, le magistrat délégué du Conseil constitutionnel a constaté, lors de son passage, qu’aucun membre du bureau n’était présent, en méconnaissance des dispositions de l’article R. 42 du code électoral. Une telle irrégularité étant de nature à entraîner des erreurs et à favoriser la fraude, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans ces bureaux de vote.

4. Dans la commune de Saint-Jean-Saint-Germain (Indre-et-Loire), dans laquelle 427 suffrages ont été exprimés, dans le bureau de vote n° 3 de la commune de Descartes (Indre-et-Loire), dans lequel 601 suffrages ont été exprimés, dans la commune de Mondion (Vienne), dans laquelle 64 suffrages ont été exprimés, dans la commune de Cannelle (Corse-du-Sud), dans laquelle 34 suffrages ont été exprimés, dans la commune de Nogaro (Gers), dans laquelle 894 suffrages ont été exprimés, dans les quatre bureaux de vote de la commune d’Éauze (Gers), dans lesquels 1 974 suffrages ont été exprimés, dans le bureau de vote n° 2 de la commune de Gambsheim (Bas-Rhin), dans lequel 718 suffrages ont été exprimés ainsi que dans la commune de Beauclair (Meuse), dans laquelle 52 suffrages ont été exprimés, le magistrat délégué du Conseil constitutionnel a constaté, lors de son passage, qu’un seul membre du bureau de vote était présent, en méconnaissance des dispositions de l’article R. 42 du code électoral. Une telle irrégularité étant de nature à entraîner des erreurs et à favoriser la fraude, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans ces bureaux de vote.

5. Dans le bureau de vote n° 1 de la commune de Harnes (Pas-de-Calais), dans lequel 663 suffrages ont été exprimés, un assesseur régulièrement désigné par l’un des candidats s’est vu refuser l’accès au bureau de vote, en violation des dispositions de l’article R. 44 du code électoral. En raison de la méconnaissance de ces dispositions destinées à assurer la régularité du scrutin, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans ce bureau de vote.

6. Dans le bureau de vote n° 1 de la commune de Ghyvelde (Nord), dans lequel 627 suffrages ont été exprimés, la présentation d’un titre d’identité n’a pas été exigée des électeurs comme le prescrit l’article R. 60 du code électoral pour les communes de plus de 1 000 habitants. Cette irrégularité s’est poursuivie en dépit des observations du magistrat délégué du Conseil constitutionnel. Dans ces conditions, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans ce bureau de vote.

7. Dans les communes de Talus-Saint-Prix (Marne) et de Rémelfang (Moselle) ainsi que dans le bureau n° 1 de la commune de Chambray-lès-Tours (Indre-et-Loire), dans lesquels ont été respectivement exprimés 55, 97 et 625 suffrages, le magistrat délégué du Conseil constitutionnel a constaté que le procès-verbal des opérations de vote n’était pas tenu à la disposition des électeurs, en méconnaissance de l’article R. 52 du code électoral. Cette irrégularité s’est poursuivie en dépit des observations du magistrat délégué. Dans ces conditions, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans ces bureaux de vote.

8. Dans la commune de Molring (Moselle), dans laquelle 15 suffrages ont été exprimés, la composition du bureau de vote, en l’absence d’assesseurs et de secrétaire, ne respectait pas les conditions prévues par l’article R. 42 du code électoral. En outre, aucun isoloir n’a été mis à la disposition des électeurs en méconnaissance de l’article L. 62 du même code et le procès-verbal des opérations de vote n’était pas tenu à la disposition des électeurs en méconnaissance de l’article R. 52 de ce code. Ces irrégularités s’étant poursuivies en dépit des observations faites par le magistrat délégué du Conseil constitutionnel, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans cette commune.

9. Dans les communes de Le Titre (Somme), de Saint-Sulpice (Nièvre) de Montrevel (Isère) et de Saint-Lager-Bressac (Ardèche), dans lesquelles ont été respectivement exprimés 210, 231, 254 et 500 suffrages, le magistrat délégué du Conseil constitutionnel a constaté que les clés de l’urne étaient détenues dans des conditions contraires aux dispositions de l’article L. 63 du code électoral. Cette irrégularité s’est poursuivie en dépit des observations du magistrat délégué du Conseil constitutionnel. Dans ces conditions, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans ces communes.

10. Dans les bureaux de vote n° 1 et n° 2 de la commune de Froideconche (Haute-Saône), dans lesquels ont été respectivement exprimés 578 et 555 suffrages, le magistrat délégué du Conseil constitutionnel a constaté que le scrutin se déroulait dans des conditions contraires aux dispositions de l’article L. 62 du code électoral. Cette irrégularité s’est poursuivie en dépit des observations du magistrat délégué. Dans ces conditions, il y a lieu d’annuler les résultats de ces deux bureaux de vote.

11. Dans la commune de Guinecourt (Pas-de-Calais), dans laquelle 13 suffrages ont été exprimés ainsi que dans la commune de Glux-en-Glenne (Nièvre), dans laquelle 55 suffrages ont été exprimés, le magistrat délégué du Conseil constitutionnel a constaté, à 13 heures pour la première commune et à 18 heures pour la seconde, que l’unique bureau de vote était fermé. Le président de chaque bureau de vote a ainsi contrevenu aux dispositions du paragraphe II bis de l’article 3 de la loi du 6 novembre 1962, en vertu desquelles le scrutin ne peut être clos avant 19 heures. Une telle irrégularité ayant été, en l’espèce, de nature à empêcher des électeurs d’exercer leur droit de suffrage, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages émis dans ces communes.

12. Dans les bureaux de vote n° 3 et n° 4 de la commune de Francheville (Rhône), dans lesquels ont été respectivement exprimés 588 et 619 suffrages, dans la commune de La Bauche (Savoie), dans laquelle 244 suffrages ont été exprimés ainsi que dans les bureaux n° 1 et n° 2 de la commune de Saint-Paul-en-Chablais (Haute-Savoie), dans lesquels ont été respectivement exprimés 762 et 642 suffrages, des bulletins blancs ont été mis à la disposition des électeurs en méconnaissance des dispositions de l’article L. 58 du code électoral. La présence de documents autres que les bulletins de vote des candidats constitue une irrégularité de nature à influencer les électeurs et à porter atteinte à la sincérité du scrutin. Dans ces conditions, il y a lieu d’annuler les suffrages exprimés dans ces bureaux de vote.

13. Dans la commune de Herbitzheim (Bas-Rhin), dans laquelle 1 098 suffrages ont été exprimés, les électeurs étaient invités à signer la liste d’émargement avant de déposer leur bulletin dans l’urne, en méconnaissance des dispositions du dernier alinéa de l’article L. 62-1 du code électoral. Cette irrégularité a été constatée peu avant la clôture des opérations de vote par le magistrat délégué du Conseil constitutionnel. Dans ces conditions, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans cette commune.

14. Dans la commune de Les Aires (Hérault), dans laquelle 335 suffrages ont été exprimés, les électeurs ont été invités à signer la liste d’émargement avant d’introduire leur bulletin dans l’urne, en méconnaissance des dispositions du dernier alinéa de l’article L. 62-1 du code électoral. Cette irrégularité s’est poursuivie en dépit des observations faites par le magistrat délégué du Conseil constitutionnel, auxquelles le président de bureau de vote a refusé de donner suite. Dans ces conditions, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages émis dans cette commune.

15. Dans le bureau n° 7 de la commune de Kourou et dans le bureau n° 1 de la commune d’Apatou (Guyane), dans lesquels ont été respectivement exprimés 359 et 177 suffrages, le scrutin a été interrompu, l’urne a été ouverte et les bulletins ont été transférés dans une nouvelle urne au seul motif que le compteur de l’urne utilisée depuis le début du scrutin ne fonctionnait pas. Ces faits ayant été de nature à altérer la sincérité du scrutin, il y a donc lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans ces bureaux de vote.

16. Dans le bureau de vote n° 62 du seizième arrondissement de Paris, dans lequel 1 098 suffrages ont été exprimés, le magistrat délégué du Conseil constitutionnel a constaté, lors de son passage en fin de journée, que l’urne n’était pas verrouillée et qu’aucun cadenas n’était installé. Une telle irrégularité étant de nature à favoriser la fraude, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans ce bureau de vote.

17. Dans la commune de Saint-Lon-les-Mines (Landes), dans laquelle 708 suffrages ont été exprimés, le magistrat délégué du Conseil constitutionnel a constaté, lors de son passage, qu’il était possible d’introduire dans l’urne des bulletins de vote par une autre ouverture que celle prévue à cette fin. Une telle irrégularité étant de nature à favoriser la fraude, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans cette commune.

18. Dans le bureau de vote n° 8 de la commune de Marmande (Lot-et-Garonne), dans lequel 597 suffrages ont été exprimés, il a été procédé aux premières étapes des opérations de dépouillement hors la présence des électeurs dont l’un d’eux s’est, au demeurant, vu refuser l’accès au bureau de vote, en méconnaissance des articles L. 65 et R. 63 du code électoral. Les électeurs ont ainsi été privés, sans justification, de la possibilité d’exercer leur droit à surveiller le dépouillement des votes. En raison de cette méconnaissance de dispositions destinées à assurer la sincérité du scrutin, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages émis dans ce bureau de vote.

19. Dans le bureau de vote n° 704 de la commune de Perpignan (Pyrénées-Orientales), dans lequel 609 suffrages ont été exprimés, il a été procédé aux opérations de dépouillement sans double contrôle ni lecture à haute voix des bulletins dépouillés ni comptage des bulletins au fur et à mesure du dépouillement. Ces manquements rendent impossible le contrôle de la régularité et de la sincérité du scrutin. Il y a donc lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans ce bureau de vote.

20. Dans la commune de La Salvetat-Saint-Gilles (Haute-Garonne), le bureau centralisateur a, en méconnaissance des dispositions de l’article R. 69 du code électoral, modifié les résultats du bureau de vote n° 1, dans lequel 512 suffrages ont été exprimés, sans qu’aucune justification ne soit apportée. En outre, il existait des discordances importantes et inexpliquées entre les résultats du procès-verbal de ce bureau de vote et les chiffres figurant dans les feuilles de dépouillement. Dans ces conditions, il y a lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans ce bureau de vote.

21. Dans la commune d’Excideuil (Dordogne), dans laquelle 507 suffrages ont été exprimés, le procès-verbal des opérations de vote n’a pas été transmis à la préfecture à l’issue du dépouillement, en méconnaissance de l’article L. 68 du code électoral. Ce manquement rend impossible le contrôle de la régularité et de la sincérité du scrutin. Il y a donc lieu d’annuler l’ensemble des suffrages exprimés dans cette commune.

– Sur l’ensemble des résultats du scrutin :

22. Les résultats du second tour pour l’élection du Président de la République, auquel il a été procédé les 23 et 24 avril 2022, sont les suivants :
Électeurs inscrits : 48 752 339
Votants : 35 096 478
Bulletins blancs : 2 233 904
Bulletins nuls : 805 249
Suffrages exprimés : 32 057 325
Majorité absolue : 16 028 663
Ont obtenu :
M. Emmanuel MACRON : 18 768 639
Mme Marine LE PEN : 13 288 686
Ainsi, M. Emmanuel MACRON a recueilli la majorité absolue des suffrages exprimés requise pour être proclamé élu.

EN CONSÉQUENCE, LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL PROCLAME
M. Emmanuel MACRON Président de la République française à compter du 14 mai 2022 à 0 heure.
Les résultats de l’élection seront publiés au Journal officiel de la République française.

Délibéré par le Conseil constitutionnel dans ses séances des 25, 26 et 27 avril 2022, où siégeaient : M. Laurent FABIUS, Président, Mme Jacqueline GOURAULT, M. Alain JUPPÉ, Mmes Corinne LUQUIENS, Véronique MALBEC, MM. Jacques MÉZARD, François PILLET, Michel PINAULT et François SÉNERS.
Rendu public le 27 avril 2022.

Pas un mot sur le recours de maître Protat. Enfin presque…

« Après avoir rejeté comme irrecevables les réclamations parvenues directement au Conseil constitutionnel en méconnaissance du premier alinéa de l’article 30 du décret du 8 mars 2001 mentionné ci-dessus ;

Le Conseil constitutionnel a rejeté comme irrecevable les recours déposés directement devant lui. La loi prévoit que seuls les recours ayant été précédés d’une inscription sur un procès-verbal dans un bureau de vote sont recevables. D’accord. Mais dans le cas de figure ou la fraude à lieu après la fermeture des bureaux de vote, après le dépouillement ? Comme par exemple la rectification des résultats dans la soirée par le ministère de l’Intérieur ou par une mairie. Dans ce cas, il n’y a pas de recours possible, puisqu’il n’y a plus de procès-verbal à disposition dans un bureau de vote. Circulez les gueux, il n’y a rien a voir…

« Après avoir statué sur les réclamations mentionnées dans les procès-verbaux des opérations de vote, opéré diverses rectifications d’erreurs matérielles, procédé aux redressements qu’il a jugé nécessaires et aux annulations énoncées ci-après ;

En plus, le Conseil constitutionnel valide les rectifications de résultats par le ministère de l’Intérieur, en disant « … opéré diverses rectifications d’erreurs matérielles, procédé aux redressements qu’il a jugé nécessaires… ». Cette petite phrase se trouve dans chaque décision du Conseil constitutionnel depuis que celui-ci juge de la validité des résultats des élections présidentielles. Je l’avais déjà souligné lors d’un précédent journal de la présidentielle… Des millions de Français ont vu en direct le genre de rectification dont parle le conseil.

Au final, la décision du Conseil constitutionnel, n’évoque que vingt-et-un cas de fraude… Vingt-et-un bureaux de vote sur plusieurs dizaines de milliers.

Parmi les bureaux, il y a celui de jean Lassalle pour sa mise en scène de son abstention. Lamentable. En revanche point d’annulation du bureau de vote d’Emmanuel Macron. Restons sérieux, les loups ne se mangent pas entre eux.

Autre annulation étonnante, un bureau de vote organisé dans une église. Le Conseil constitutionnel aurait-il fait de même si un bureau de vote avait eu lieu dans une synagogue ou dans une mosquée. On aurait hurlé à l’antisémitisme ou à l’islamophobie, mais là, c’est une église… On annule sans un mot.

Maître Protat a déposé un recours devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme. Le recours a peu de chances d’aboutir. La cour européenne est corrompu jusqu’à l’os. Juridictions françaises ou juridictions européennes, même combat contre les peuples. La CEDH a été conçue comme une arme de guerre de George Soros au service de la société ouverte, l’open society en anglais. Elle ne va pas prendre une décision allant contre l’un de ses pions. Un pion très précieux de la société ouverte.

28 avril 2022.

La Russie bombarde Kiev en pleine visite du secrétaire général de l’ONU. A quelques kilomètres du lieu de la visite. Une réponse de Poutine aux sanctions de l’ONu.

16 mai 2022.

Elisabeth Borne est nommée Premier ministre. Trois semaines après la « victoire » de Macron à la présidentielle. Que le délai fut long. Monsieur voulait absolument nommer une femme. Il essuya beaucoup de refus et du la mort dans l’âme, se replier vers Elisabeth Borne.

Après Edith Cresson, en 1991, c’est la deuxième femme à devenir Premier ministre.

De son vrai nom, Elisabeth Bornstein, est le cinquième homme politique de « confession juive » à occuper ce poste (Léon Blum : 1936-1937, 1938, 1946-1947 ; Michel Debré : 1959-1962 ; Pierre Mendès-France : 1954-1955 et Laurent Fabius : 1984-1986). J’imagine déjà que toute critique politique d’Elisabeth Borne sera considéré comme de l’antisémitisme. 1 % de la population arrive à placer des hommes au plus haut poste de l’Etat. Laurent Fabius Président du Conseil constitutionnel, Emmanuel Macron (nous avons déjà vu qu’une caricature ou un masque avec un nez crochu sont considérés comme antisémite) et maintenant Elisabeth Borne. J’attends un président de la République et un Premier ministre catholique en Israël.

Jadis, le journal « Le Monde » comptait le nombre de catholiques à la cour suprême américaine en faignant de s’étonner du faible pourcentage de catholique dans la population américaine. Alors pourquoi ne pas faire pareil avec la religion juive, en France. Pourquoi interdire aux autres ce que l’on fait soi-même ? La même logique arithmétique doit fonctionner pour tout le monde. J’ai toujours dit que les fausses accusations d’antisémitisme étaient une forme de christianophobie déguisée. J’attends les poursuite judiciaires contre le journaliste Gilles Paris, pour christianophobie. Deux ans et toujours rien… Je m’en étonne toujours.

D’ailleurs, la page Wikipédia d’Elisabeth Borne a fait l’objet d’une intense bataille politique au sujet de son judaïsme. On comprend que sa supposée religion est le point essentiel de sa biographie…. pour ceux qui l’ont nommé à se poste…

Avant d’être nommé Premier ministre, elle était considéré comme ayant des origines « juive russe ». Vous noterez avec moi, qu’il n’est nullement question de croyance religion, mais de race. Le terme « origine » renvoi à une race, aux parents et grands-parents. Or, normalement, le Judaïsme est une religion. Pas pour les rédacteurs de la page Wikipédia d’Elisabeth Borne.

Article Wikipédia Elisabeth Borne, 15 mai 2022.

Une fois nommé, et en raison du contexte de la guerre en Ukraine, les racines « juives russes » disparaissent pour devenir « juive apatride originaire de Lukow en Pologne« .

Détail croustillant, on découvre que son grand-père a soigné le Général Erwin Rommel blessé durant le débarquement en Normandie. Puis cette anecdote croustillante va disparaître dans un troisième temps. En effet, cela fait mauvais genre qu’un médecin « juif » soigne un général nazi. Surtout lorsque cette même personne se proclame « résistant ».

Article Wikipédia Elisabeth Borne, 16 mai 2022.

Dans sa rédaction actuelle, l’article Wikipédia d’Elisabeth Borne ne fait plus mention de ses origines juives russe ou polonaise. Sa famille paternelle, qui avait été « déportée en 1942 » (référence avant sa nomination au poste de Premier ministre) devient une « déportation à Auschwitz » (dans la troisième version). Les réunions de famille devait être sympa, entre le médecin de Rommel et les déportés d’Auschwitz.

Article Wikipédia Elisabeth Borne, 9 juillet 2022.

Ce qui est très inquiétant dans tout cela, c’est que l’on nomme quelqu’un, pour son sexe ou sa supposée « race », mais surtout pas pour sa compétence. D’ailleurs, elle n’est ni compétente, ni intelligente, c’est pour cela qu’elle a été nommée Premier ministre. Il ne faut pas se leurrer.

12 juin 2022.

Premier tour des législatives. La majorité présidentielle ne s’attend pas à avoir la majorité absolue. Le canard enchaîné se fait écho de l’inquiétude d’Emmanuel Macron à ce sujet.

Canard Enchaîné, 8 juin 2022

Le taux d’abstention pour le premier tour atteint des nouveaux records. 52, 5 % de citoyens qui ne sont pas allés voter. Les gens ont compris que le jeu électoral était pipé de A à Z. Cela ne sert à rien de voter, tout est déjà décidé derrière notre dos. Ils ont vu la mascarade du deuxième tour des présidentielles sur France 2. Les images ont circulé sur Internet. Il faut être aveugle ou complice pour ne pas le voir, pour ne pas le constater. Cela annonce une terrible déconvenue pour le régime républicain. Un régime à bout de souffle.

Candidats élus dès le 1er tour aux élections législatives de 2022 :

– Sophia Chikirout (NUPES).

– Alexis Corbière (NUPES).

– Yannick Favennec-Becot (Horizon).

– Sarah Legrain (NUPES).

– Danièle Obono (NUPES).

Quinze autres candidats dépasseront les cinquante pour cent, mais devront revenir au deuxième tour en raison de l’abstention.

19 juin 2022.

Abstention record en ce deuxième tour des législatives. De 53, 8 % des électeurs inscrits sur les listes électorales (n’oublions pas ceux qui ne sont pas inscrits.). Premier enseignement, le premier partis de France est celui des abstentionnistes. Il faut également réduire de moitié le score de chaque mouvement politique pour obtenir le vrai résultat.

Deuxième enseignement, le Rassemblement national obtient quatre vingt-neufs députés, un score historique. La raison de ce résultat est que le système a préféré faire élire des députés d’extrêmes droites que des députés d’extrêmes gauches. Cela en dit long sur la dangerosité de Marine Le Pen et de son entourage. Une NUPES avec un grand nombre de députés est plus dangereuse pour Macron qu’un RN avec quatre-vingt-dix députés. Non pas que l’un soit moins collabos que l’autre. Je les mets tous au même niveau. Mais il faut diviser pour régner. Ce fut le cas dans soixante et une circonscription.

Le Canard enchainé du 15 juin 2022 esquisse cet idée d’un pouvoir macronien favorisant les candidats lepénistes face à leurs adversaires mélenchonistes.

Le canard enchainé, 15 juin 2022.

« Le RN ne représente aucun danger sur le plan électoral. Pour avoir la majorité absolue des sièges, c’est la Nupes qu’il faut affaiblir.« 

Voici le résultat des élections avec le nombre de sièges pour chaque parti politiques.

Groupe politiqueDéputésPrésident déclaré
MembresApparentésTotal
RERenaissance1684172Aurore Bergé
RNRassemblement National88189Marine Le Pen
LFILa France insoumise – Nouvelle Union populaire écologique et sociale75075Mathilde Panot
LRLes Républicains59362Olivier Marleix
DEMDémocrate (MoDem et indépendants)48048Jean-Paul Mattei
SOCSocialistes et apparentés (membre de l’intergroupe Nupes)27431Boris Vallaud
HORHorizons et apparentés28230Laurent Marcangeli
ECOÉcologiste – Nupes23023Julien Bayou
GDRGauche démocrate et républicaine – Nupes22022André Chassaigne
LIOTLibertés, Indépendants, Outre-mer et Territoires16016Bertrand Pancher
Total de députés membres de groupes55414568
Députés non-inscrits9
Total des sièges pourvus577
Sièges vacants0

Total : 250 députés.

Il manque quarante neuf sièges pour avoir la majorité absolue.

Pour la NUPES, nous avons :

Total : 151 députés.

Reste 62 républicains et 89 RN.

Macron peut aller chercher les voix qui manquent pour sa majorité absolue vers les républicains.

Et alors, la fraude ?

Macron n’a pas eu la majorité absolue, donc les élections ne sont pas truqués… On me le dit parfois.

A bon pas de fraude ?

Un article du Canard enchaîné du 15 juin montre que Mayer Habib a fraudé dans sa circonscription.

Il est même possible que le pouvoir ait favorisé l’élection de député RN par la fraude pour faire perdre des sièges à la NUPES Une épée de Damoclès sur la tête de Marine Le Pen pour la rendre plus docile face au pouvoir présidentiel. Ce quel fait très bien en ce début de quinquennat.

Quitter la version mobile