Macron : un poteau de boue.
Marie-Julie Jahenny évoquait le 29 septembre 1878, un président de la République qui régnera comme un roi sans en avoir le pouvoir, ni les attributs. Elle l’appelle le « poteau de boue ».
Voici l’intégrale de sa vision.
« L’heure de Dieu n’est pas loin, dit Saint-Michel, cette terreur profonde fera ressortir le triomphe de la France. Mais le triomphe ne peut venir avant que la Justice ne se soit appesantie sur cette terre gâtée.
N’attendez rien de celui qui règne comme roi et qui, aujourd’hui, est assis dans le même fauteuil que les autres – fauteuil qui ne porte aucune marque d’un pouvoir spécial et plus grand –
Sa pensée est accordée à la pensée des autres, sa parole à leur parole, sa volonté à leur volonté. Sa puissance et ses pouvoirs ne sont pas plus que ceux de celui qui est le dernier. N’attendez rien de ce côté : il ne mérite pas plus de respect que tout le reste.
Dans la tempête, sa voix criera aussi fort que les autres, contre tout ce que Dieu a établi… Il n’y a pas de fermeté en lui : ils l’ont mené ; ils l’ont dirigé. Voilà le portrait de cet homme : c’est un poteau de boue. Plaignons-le, mais n’y pensons guère.
– Je n’y pense point, bon Saint-Michel.
– Pour ramener le Roi choisi et destiné par Dieu, il fut que tous ceux qui sont à présent soient balayés. » (29 septembre 1878).
Ce ne peut être que Macron qui se prend pour un roi sans en être un. La vision dit très clairement qu’il est assis sur le fauteuil des rois de France, mais sans en avoir les marques extérieures. Ce qui ne fut pas le cas de François Hollande.
Marie-Julie nous dit qu’il ne faut rien attendre de lui. Vous voilà prévenu.
il faut se garder de toute conclusion hâtive sur ce descriptif.
Certains pensaient que sarkozy était le poteau de boue car, en hongrois, son nom se prononce « char-ko-sy » et signifie littéralement « dans la boue »
Puis certains pensèrent ensuite que c’était Hollande car c’est une région des pays Bas marécageuse à l’origine où les maisons reposent sur des poteaux enfoncés dans la boue (même principe qu’à Venise).
La tendance à vouloir faire coller le qualificatif sur tout nouveau président est piégeuse.
Je ne pense pas qu’elle désigne obligatoirement l’actuel locataire de l’Elysée.
La définition semble clairement indiquer une personne qui n’a aucune conviction et plie selon le sens du vent. Cela colle mal à un Macron plutôt psychorigide qui, même s’il ment en promettant en permanence tout et son contraire, ne dévie en fait jamais de son plan de marche maçonnico-luciférien.
Ce « poteau de boue » me semble encore à venir.
Peut-être surviendra t’il sous un gouvernement islamo-gauchiste où le président de l’époque chercherait à ménager la chèvre et le chou pour retarder l’affrontement ouvert entre ses deux factions incompatibles et avides d’un pouvoir exclusif.
Le Penn est un locatif breton, qui désigne la limite (poteau) de la terre dans la mer (donc boues). Il s’agit bien d’une femme et de Marion Maréchal Lepen, qui conduire un parti d’union entre nationalistes, souverainistes et républicains. Kenavo.
Voilà le portrait de cet homme cites Marie-July Jahenny. Donc ce n’est pas une femme. C’est bien Macron, on ne peut rien attendre de lui. Car ensuite la république tombera.
avec les précédents présidents c’était un peu tiré par les cheveux, avec celui-ci on a l’impression que toutes les pièces du puzzle se mettent en place.