Dans plusieurs visions Marie-Julie Jahenny, évoque une guerre en Russie et la présence de l’armée française. Cela me fait penser à la guerre en Ukraine qui a commencé le 24 février 2022.
« Après que tu as prié, dit la Sainte Vierge, pour cette France surtout, prie encore pour l’Orient1 où la Justice divine va soulever les peuples. Rien ne laissera voir que des douleurs vont y apparaître, aucun signe qui fasse pressentir ces combats.
Prie aussi beaucoup pour cette autre terre2, celle où l’on a conduit les forces de la France, pas toutes mais une partie.
Devant la Justice divine ces deux terres vont, sous peu, être terriblement et douloureusement éprouvées, par suite de violents combats qui vont les dresser l’une contre l’autre. Il y aura, pour ces deux peuples, de grands maux et des pertes considérables. Priez beaucoup, mes enfants, car la voix du ciel menace terriblement.
La Sainte Vierge dit encore :
Mes enfants, priez pour l’Allemagne qui se rend, de jour en jour, plus coupable et pour le peuple qui borde ces contrées : ce peuple se creuse et se prépare, dans l’abîme, un avenir épouvantable. A la suite de ces deux terres dont j’ai parlé déjà, bientôt ce y sera terrible et le sang y coulera à flots pendant six mois et dix jours, sans qu’on y puisse retrouver la plus petite union.
Mes enfants, toute la terre n’est plus qu’une pierre qui tremble et n’est consolidée à rien ici-bas.
Après cette parole, la Sainte Vierge dit :Mes enfants, c’est le coeur le plus attristé et rempli d’angoisse que je vous recommande aussi de prier beaucoup pour la terre de Jérusalem… Une lutte sanglante y sera déclarée, un peu du côté du Roi de Perse, pour une possession en ces terres de peu de valeur, c’est-à-dire pour y ouvrir un passage à ce qui circule sur la terre.
Mes enfants, avant même peut-être que la première crise de la Fille aînée de l’Eglise ne soit commencée, il y aura des nouvelles douloureuses de ces peuples : Angleterre, Perse, Jérusalem. Tous auront subi de grands maux. » (25 août 1882)
(Marie-Julie Jahenny, prophétie de la Fraudais, p. 170)
1 Il y a le Proche-Orient, mais aussi l’Extrême-Orient, la Chine et sa puissante voisine, la Russie.
2 Nos soldats seraient-ils conduits en Russie ? Y aurait-il guerre entre la Russie et la Chine ?
La sainte Vierge dit à Marie-Julie que le sang coulera dans deux terres : l’une en Orient et une autre, quelle appelle « l’autre terre« . Dans une note de bas de page, le père Roberdel, qui publia pour la première fois les prophéties, parle du Proche-Orient, d’Extrême-orient ou de la Russie. Dans une deuxième note de bas de page, il évoque des soldats français qui iront en Russie. En 1882, l’Ukraine, la Pologne et les Etats Baltes faisaient partie de la Russie tsariste.
Il dit cela, car dans une autre vision, il est question de l’envoi de soldats français dans une terre étrangère pour faire la guerre.
« NOS MILITAIRES HORS DE FRANCE.
Oh ! C’est Quequet qui élève le son de sa voix. Il dit :
C’est au Centre que je porterai les armes de mort contre tous ceux qui vont refuser de se soumettre à leurs lois nouvelles.Il dit avec une rage épouvantable :
Je vais faire sortir du Centre entier tous les militaires, toutes les armées qui campent sur cette terre. Une fois hors de France, on les embarquera immédiatement sur la terre étrangère, et le chef présent de la loi essaiera de s’enfuir hors des murs, hors des menaces… » (23 octobre 1882)
(Marie-Julie Jahenny, prophétie de la Fraudais, p. 160-161)
Le « Centre », chez Marie-Julie Jahenny, c’est Paris, la capitale de la France.
Au moment d’une dictature qui sévira en France qui persécutera ceux qui refuse de s’y soumettre, des soldats français seront envoyés sur une terre étrangère.
« Mes enfants, tous ceux qui ont refusé de croire et qui pensent qu’il serait impossible que cela puisse jamais arriver sur la terre, le châtiment les attend. Sous peu, leurs fils seront ravis et emmenés sur les terres étrangères. Pour la plupart, ils seront si malheureux et si misérables que la souffrance les forcera d’expirer sans revoir leur beau pays, sans pouvoir se réjouir avec le petit nombre à qui la victoire est réservée. » (8 octobre 1882)
(Marie-Julie Jahenny, prophétie de la Fraudais, p. 161)