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Notre Dame de Paris et Macron : un inquiétant signe du ciel.

Dans le cadre de la crise des gilets jaunes, le président de la République devait prendre la parole à 20 h pour tenter d’éteindre l’incendie de la crise sociale que traverse notre pays depuis le 17 novembre 2018.

Soudain, au environ de 19 heures, les chaînes d’informations continues cessent leurs débats sur la future allocution et diffuses des images de la cathédrale de Notre Dame en feu. L’image est exceptionnelle et produit son effet de sidération.

L’incendie fit bientôt le tour du monde, poussant Emmanuel Macron a annuler son allocution.

L’un des berceaux du christianisme s’enflamme pour empêcher l’envoyé du diable de prendre la parole. Une cathédrale dédiée à la sainte-Vierge brûle comme un signe donné aux hommes pour marquer la gravité des évènements qui se préparent. L’Eglise catholique est menacée. La France est menacée.

Rappelez-vous la foudre qui frappa le dôme de la basilique de saint-Pierre de Rome au moment de la démission de Benoît XVI.

Une synchronicité que n’aurait pas renié Carl Gustav Jung.

Ce qui me trouble, c’est que dans l’une de ses extases, Marie-Julie Jahenny annonçait que des monuments brûleraient dans ce qu’elle qualifiait d’une sorte de guerre civile, très courte, mais une guerre civile quand même.

C’est un extrait du livre « la prophétie de la Fraudais ».


« Mes enfants, aujourd’hui si peu d’âmes me demandent mon amour, si peu de cœurs me servent fidèlement. Jusque dans les cloîtres, je trouve indifférence, oubli et faiblesse. Je me plains amèrement. Si les bons chrétiens sont si lâches, que seront donc les coupables qui veulent tout détruire et renverser jusqu’à mon Règne Eternel….
Moi-même, je choisirai ; je ferai nommer le véritable consolateur de mon peuple et de l’Eglise : celui qui reconstruira mes temples incendiés sous la violence d’une grande guerre civile, bien qu’elle ne sera pas longue. Je ne peux, dit-il, dit-il, nommer autrement que guerre civile cette guerre à laquelle la France sera livrée

Il se lèvera soudain sur la France de grands fléaux et des calamités que rien ne pourra ni arrêter ni amoindrir. Passeront, sur la France, une mortalité innombrable que jamais le monde n’aura vue et des maladies qui seront inconnues. C’est surtout au Centre (Paris) que cette mortalité lancera son fléau. Elle viendra frapper jusque sur la paroisse qui est la vôtre, mes enfants ; mais ne craignez rien, mon Coeur sera une demeure pour vous protéger….« 

(Marie-Julie Jahenny, extase du 15 juin 1885).

Deux images vont frapper tous les esprits, surtout des croyants. L’image de la croix au milieu des débris et des flammes, lumineuse et baigné d’un mince filet de lumière. Ce n’est pas n’importe quelle croix puisqu’il s’agit de celle qui surmonte la Pieta, la célèbre statue de la vierge avec son fils mort dans les bras.

L’autre miracle, j’ose le mot, c’est la statue de la sainte-Vierge et l’enfant, a survécu à la destruction. Minuscule, si fragile au milieu du chaos, mais intacte.

La flèche détruite par l’incendie accueillait à l’intérieur du coq qui la surplombait, trois reliques. un morceau de la couronne d’épines du Christ, une relique de sainte Geneviève et une relique de Saint-Denis.

Enfin, le bourdon qui menaça de s’effondrer en entraînant l’ensemble de l’édifice avec lui, fut baptisé en 1638 Emmanuel,

Emmanuel (bourdon) — Wikipédia (wikipedia.org)

Tous ses signes n’annoncent rien de bon.

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