Les bêtes de l’Apocalypse : la bête de la terre et l’argent (2).
Après avoir présenté de manière générale les trois bêtes cités dans l’Apocalypse, commençons par aborder la bête de la terre et plus précisément l’une de ses deux cornes.
La bête de la terre dispose de deux cornes, une corne argent et une corne média. Les éléments des deux cornes sont imbriqués l’une dans l’autre. La corne argent concerne le système bancaire bras armé de la propagande du diable (I), c’est également par l’intermédiaire de la corne argent que va se mettre en place la marque de la bête (II).
I. Le système bancaire.
« Elle fit qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne pût acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la bête ou le nombre de son nom. » (Apocalypse, XIII : 16-17).
Cette marque qu’il voit sur la main droite ou sur le front sert à acheter ou à vendre, nous dit-il. Cela vise le monde des banques et des affaires.
Rappelons-nous que Jésus chassa les marchands du temple dans un épisode resté célèbre.
« Jésus étant entré dans le temple, chassa tous ceux qui vendaient et achetaient dans le temple ; il renversa les tables des changeurs et les sièges de ceux qui vendaient les colombes, et leur dit : « il est écrit : ma maison sera appelée une maison de prière, et vous en faites une caverne de voleurs. » » (Mathieu, XXI : 12-13).
Il s’attaqua à ceux qui vendaient et achetaient. Il renversa la table des changeurs, c’est-à-dire des banquiers. Ils les appellent voleurs et accusent les autorités du temple de l’avoir transformé en « caverne des voleurs ». La condamnation du monde de la banque était sans appel.
Dans un autre passage, lui aussi souvent reprit Jésus indique qu’on ne peut pas vénérer Mammon et Dieu à la fois.
« Nul ne peut servir deux maîtres : car ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon. C’est pourquoi je vous dis : Ne vous inquiétez pas pour votre vie, de ce que vous mangerez ou boirez ; ni pour votre corps, de quoi vous le vêtirez. La vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement ? Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n’amassent rien dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ? » (Mathieu, VI : 24-26).
Mammon, c’est la richesse, c’est le veau d’or.
Le monde de la banque va se réintroduire dans l’ensemble du christianisme à partir du XVIe et atteindre son sommet au XIXe siècle. Chassés du Temple, ils reviennent par la fenêtre. En Suisse, elle semble se créer entre le XVIe et le XVIIe siècle. En Angleterre et aux Etats-Unis, elle se développe au XIXe siècle. En France, il faudra attendre la fin du XIXe siècle. La caisse d’épargne est fondée en 1818, le crédit foncier en 1852, le Crédit industriel et commercial en 1859, en 1863, le Crédit lyonnais ou le Crédit Agricole, en 1885.
A ce moment-là, seul, les plus riche disposait d’un compte bancaire. L’ouvrier touchait son salaire en liquide. Le 30 du mois, il faisait la queue au bureau de la comptabilité pour retirer son argent en billets et en pièces. Il plaçait son économie sous le matelas ou dans une boite en métal (bien caché). Il n’a nullement besoin d’une banque. Il restait maître de son argent. Il en disposait quand il voulait. La vraie liberté.
La domination de la corne argent se fit progressivement en plusieurs étapes selon la technique du pied dans la porte.
Cela a commencé par l’obligation de verser son salaire sur un compte bancaire (A), puis de la carte bancaire (B) et la fin de l’argent liquide (C) entraînant un contrôle presque totale du monde bancaire sur le régime républicain (D).
A. Obligation du versement du salaire sur un compte bancaire.
La loi du 23 novembre 1973 maintiens le paiement des salaires en liquide :
« Sous réserve des dispositions législatives imposant le paiement des salaires suivant d’autres modalités, le salaire doit être payé en monnaie métallique fiduciaire ayant cours légal, nonobstant toute stipulation contraire, à peine de nullité. »
Douze ans plus tard, avec la loi du 13 janvier 1985, il n’est plus possible d’obtenir le paiement de son salaire en monnaie sonnante et trébuchante.
« Sous réserve des dispositions législatives imposant le paiement des salaires sous une forme déterminée, le salaire doit être payé en monnaie métallique ou fiduciaire ayant cours légal ou par chèque barré ou par virement à un compte bancaire ou postal, nonobstant toute stipulation contraire, à peine de nullité.
Toutefois, en dessous d’un montant mensuel fixé par décret, le salaire est payé en espèces au salarié qui le demande.
Au-delà d’un montant mensuel fixé par décret, le salaire est payé par chèque barré ou par virement à un compte bancaire ou postal. »
En résumé, au-delà d’un certain seuil, le salaire est obligatoirement versé par virement bancaire ou par chèque barré. En 2016, il était fixé à 1 500 euros. Mais la loi précise, que pour les salaires inférieurs au seuil, le paiement peut se faire en liquide, uniquement à la demande du salarié. Cela ne se fait pratiquement plus. Soit le salarié ne connaît pas cette loi, soit le chef d’entreprise refuse catégoriquement. Le salarié n’insiste pas, ayant peur de perdre son emploi. Le patron ne veut plus s’embêter avec de l’argent liquide dans ses locaux, ayant peur de se faire cambrioler.
La conséquence de la loi de 1985, impose aux Français d’ouvrir obligatoirement un compte auprès d’une banque. Cela amena des millions de personnes vers les établissements bancaires. Une manne financière considérable pour les banques et la perte du contrôle de leur argent par les citoyens. La loi est d’une importance considérable pour les Français, cela ne fut pas assez noté à l’époque.
B. Obligation de la carte bancaire.
Peu de temps auparavant, on vit l’apparition de la carte bleue. Créée en 1967, elle servait uniquement au paiement. Puis en 1979, on pouvait retirer de l’argent liquide au distributeur. La carte bancaire est donnée à chaque Français, les distributeurs d’argent fleurissent dans chaque ville, chaque village.
En 1997, c’est l’introduction des cartes de paiement sans contact. Désormais plus besoin de taper son code confidentiel. On approche la carte du terminal de paiement dans le magasin et la somme est débité de votre compte bancaire.
Avec la crise du corona-virus de 2020, la carte bancaire va s’imposer comme seul et unique moyen de paiement pour faire ses achats quotidiens. On imposa l’utilisation de la méthode « sans contact ».
Voici la communication du ministère des Finances daté du 30 mars 2020 (en plein confinement) :
« Le paiement sans contact pendant la crise sanitaire du Coronavirus Covid-19.
30/03/2020
Pour faire face au Coronavirus Covid-19, le paiement sans contact présente nombre d’avantages afin de régler de petits montants avec sa carte bancaire ou son mobile. Ce système pratique et rapide permet de limiter les manipulations.
Le paiement sans contact, de plus en plus utilisé, permet aux particuliers de faire leurs courses en respectant les mesures de distanciation sociale.
La plupart des cartes et des terminaux de paiement en France sont aujourd’hui équipés de la technologie NFC signifiant « en champ proche ». Grâce à cette technologie, deux appareils équipés, situés à une distance réduite, peuvent communiquer entre eux sans contact par l’intermédiaire d’ondes radio à courte distance.
Un paiement, simple et rapide, sans manipulations
Simple d’utilisation, le paiement sans contact ne nécessite pas de code à saisir et évite, de ce fait, des manipulations. Le paiement sans contact permet, en outre, un gain de temps en réduisant l’attente en caisse.
Paiement par carte bancaire : le paiement sans contact réalisé par carte bancaire est possible pour régler des achats jusqu’à 50 euros. Au-delà de cette somme, il convient alors d’insérer sa carte bancaire et de saisir son code confidentiel ou de faire un paiement par mobile.
Paiement par mobile : il est possible d’effectuer un paiement sans contact avec son mobile pour tout type de montant. On parle alors de « paiement mobile »« .
Selon le journal « les echos« , le paiement sans contact est passé de 30% en septembre 2009 à 65 % en juin 2020.
C. Interdiction du paiement en liquide.
A la même époque, une législation se développait, tendant à limiter l’usage de l’argent liquide. Toute une série de lois et de décrets vont interdire le paiement en espèces, au-dessus d’une certaine somme. Une somme qui se réduira d’année en année.
La loi du 8 juin 1977 :
« Doivent être opérés soit par chèques barrés, soit par virement en banque ou à un compte courant postal :
1° Les règlements effectués en paiement de loyers, transports, services, fournitures, travaux, ou afférents à des acquisitions, sous quelque forme que ce soit, d’immeubles ou d’objets mobiliers, lorsqu’ils dépassent la somme de 1000 francs ou ont pour objet le paiement par fractions d’une dette globale supérieure à ce chiffre. »
1 000 francs, en 1977, cela représentait une belle somme.
Le décret du 24 juin 2015 fixa le seuil à 1 000 euros.
Un règlement de l’Union européenne interdira de faire un paiement en monnaie métallique de plus de cinquante pièces.
Tout est fait pour empêcher l’utilisation de l’argent liquide. Cela viendra en complément de l’obligation du compte bancaire et de la massification de la carte bleue. Progressivement, nous allons vers la disparition des billets et des pièces.
Vers « la disparition de l’argent liquide » ? (lemonde.fr)
Cela s’accompagnera d’une promotion des crypto-monnaies censé remplacer l’argent liquide. Elles firent leurs apparitions au lendemain de la crise économique des sub-primes de 2008. La première crypto-monnaie fut le bitcoin en 2009 puis l’ethereum en 2011.
Concernant l’ethereum, il y a beaucoup à dire sur le choix du nom. Ether était un dieu primordial de la mythologie grecque. Selon Hésiode dans ses fables, il avait pour parents les Ténèbres ou l’obscurité et le Chaos. il représenta le Ciel dans sa partie supérieure. C’est celui qui est respiré par les Dieux (donc nos élites oligarchiques) et s’oppose à l’Aer, l’air des parties inférieures du Ciel respiré par les mortels (pour les gueux).
Une monnaie électronique dépendante de l’informatique et surtout de l’électricité. Pas d’informatique, pas d’électricité, pas de crypto. Pas de bras, pas de chocolat.
On pourrait alors s’étonner de voir un certain Dieudonné et son comparse Stéphane Blet faire une promotion insensée de la crypto-monnaie via le « sestrel ». Lui, qui se dit anti-système et persécuté par le pouvoir, s’intègre parfaitement dans les projets à long terme de celui-ci.
D. La soumission des Français aux banques.
Cette évolution permet de rendre les hommes entièrement esclaves de leur banque. Soumission des Etats aux banques (1) et soumission des citoyens aux banques (2).
1. Soumission des Etats aux banques.
La bête argent ne tente pas seulement de contrôler la vie des individus, elle fait pareil avec les états.
La Banque de France fut créée le 18 janvier 1800 à la suite d’une initiative de plusieurs banques privées (Le Couteulx, Perregaux, Mallet et Périer). La Banque de France était alors un organisme privé contrôlé par des banques privées. Elle prenait la forme d’une Société Anonyme par action distribuant de bénéfices à ses actionnaires.
En 1806, une réforme fait désigner en Conseil des ministres le gouverneur de la Banque de France. Elle est présentée comme un établissement public avec une double propriété de l’Etat et des actionnaires. Cette situation va durer jusqu’en 1936.
Avec le gouvernement du Front populaire élu en 1936, une réforme de la Banque de France va modifier le statut et ouvrir la voie à la nationalisation qui aura lieu à la libération en 1945. Cette nationalisation avait pour objectif de mettre fin à la domination des deux cents familles qui dirigeaient la Banque de France.
Toutefois, à partir du début des années soixante-dix, les banques privées vont reprendre le contrôle de la France. Cela va se faire en plusieurs étapes selon la méthode du pied dans la porte.
La première étape du processus fut l’élection, en 1969, de Georges Pompidou, à la présidence de la République.
Il fut d’abord Premier ministre sous le général de Gaulle entre 1962 et 1968. Pompidou fut salarié de la banque Rothschild entre 1954 et 1958. C’est, comme par hasard, sous sa présidence que les premières offensives des banques sur le pays eurent lieu.
Nous avons pour point d’orge, le vote de la loi n°73-7 du 3 janvier 1973 et plus particulièrement ses articles 19 et 25. Elle fut présentée au Parlement par le ministre des Finances Valéry Giscard d’Estaing (futur président).
Dans son article 19, « Les conditions dans lesquelles l’Etat peut obtenir de la Banque des avances et des prêts sont fixées par des conventions passées entre le ministre de l’économie et des finances et le gouverneur, autorisé par libération du conseil général. Ces conventions doivent être approuvées par le Parlement« . Il s’agit de limiter les capacité d’emprunt de l’Etat à la Banque de France.
Dans son article 25, « Le trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France« . Il interdit à la Banque de France de prêter directement à l’Etat. Il faut passer par le marché secondaire des banques privées.
Avant 1973, il n’y avait pas de déficit public. C’est à partir de cette date que la dette (dont on nous rabat les oreilles à longueur d’année) s’envola pour atteindre des chiffres abyssaux. La France étant redevable de somme d’argent considérable à des banques privées. De ce fait, elle se trouve soumise aux volontés de celle-ci. C’est une forme d’esclavage économique. C’est à ce moment-là que nous sommes entrées dans une dictature bancaire.
Dictature, car l’état a besoin des banques pour emprunter de l’argent. Les banques imposent leurs volontés à l’état, car celui-ci, est redevable de sommes importantes. La moindre volonté d’indépendance pourrait entraîner une faillite de la France.
C’est pour cela que l’état impose loi après loi, décret après décret une mainmise des banques sur les citoyens, dans un processus que nous avons vu auparavant.
Le vote de la loi de 1973 intervient peu de temps avant la crise économique pétrolière. La loi est votée en janvier et la crise pétrolière eut lieu en octobre 1973 (en pleine guerre du Kippour). La même année, le 11 septembre 1973 eut lieu un coup d’état ultra libéral au Chili mené par le général Pinochet. De même lors de la deuxième crise pétrolière de 1979 (suite à la révolution iranienne), l’ultra-libéralisme en profita pour prendre le pouvoir en Angleterre (Margaret Thatcher) et au USA (Ronald Reagan).
La deuxième étape fut l’élection de Valéry Giscard d’Estaing en 1974.
Giscard fut le ministre qui présenta la loi de 1973 comme nous l’avons vu. Mais pas seulement. Il fut aussi l’inspirateur d’une politique libérale en matière économique et surtout en matière d’immigration. L’invasion migratoire fut organisée par le grand patronat français pour faire pression sur les salaires et les droits sociaux à la baisse.
En 1976, Raymond Barre fut nommé Premier ministre. Il fut présenté comme le « meilleur économiste de France » par VGE. Il avait traduit, en 1953, en français le livre de Friedrich von Hayek « Scientisme et sciences sociales, Essai sur le mauvais usage de la raison. » Von Hayek était le professeur et le maître à penser de Milton Friedman. Il va contribuer, en tant de commissaires européens à la mise en œuvré d’une monnaie unique. Il va mettre en place une politique de rigueur économique pour faire face à la crise économique due aux chocs pétroliers de 1973 et 1979.
Cette étape marque l’entrée dans le jeu politique des économistes libéraux et des technocrates issues des grandes écoles (Science Po Paris, ENA, Polytechnique).
La troisième étape fut l’adoption du Traité de Maastricht en 1993.
Le traité fut adopté par référendum en 1992 et entra en vigueur le 1er novembre 1993.
Pour permettre la mise en œuvre du traité, il fallu voter une loi pour redonner son indépendance à la Banque de France vis-à-vis du pouvoir politique. C’est à cette occasion que furent intégré dans le traité européen les dispositions de la loi de 1973. Cette loi fut adoptée à l’initiative de Giscard d’Estaing.
De nouveau, la Banque de France tombait entre les mains des deux cents familles, comme avant la libération.
Banque de France « indépendante » : le projet Giscard d’Estaing | Les Echos
La quatrième étape : l’adoption de l’euro(2002) et de la Constitution européenne (2005).
L’euro devient la seule monnaie en circulation dans certains pays de l’Union européenne à partir du 1er janvier 2002.
Le pouvoir souverain de battre monnaie, attribution essentielle de l’indépendance de l’Etat et donc de son dirigeant est transféré à la Banque centrale européenne dont le siège est à Francfort-sur-le-Main. Le lieu n’est pas anodin. C’est là, à Offenbach, ville située a quelques kilomètres de Francfort, que le faux messie Jacob Frank avait installé sa cour. La ville était également connue pour son ghetto juif qui servit de lieu de recrutement pour la secte frankiste. Aujourd’hui, les héritiers de Jacob Frank dominent l’oligarchie au pouvoir partout en Europe. Idéologie sataniste chargée de mettre en œuvre le plan de la bête de l’Apocalypse dont nous parlons en ce moment. Pour plus de détail sur l’idéologie du sabbatéo-frankisme, je vous renvoi à la lecture de mon livre « Nostradamus et la fin des temps« .
Vous pensez que j’exagère en établissant un lien entre le siège de la BCE et la cour d’Offenbach. Quelques kilomètres (au maximum cinq kilomètres tout au plus) séparent le siège de la Banque centrale européenne de l’endroit où vivait Jacob Frank. Un étrange hasard, vous en conviendrez avec moi. D’autant que la BCE met minutieusement en œuvre le projet frankiste de rédemption par le péché pour précipiter l’avènement de leur messie, c’est-à-dire de notre antéchrist.
Plus tard, il fallu adopter un nouveau traité européen dite Constitution européenne afin de créer un nouvel Etat qui devra remplacer les anciennes nations européennes. Le projet rédigé par l’inénarrable VGE fut rejeté par référendum le 29 mai 2005. L’ignoble Nicolas Sarkozy fera adopter le même texte (mais sous un autre nom afin de tromper le peuple) par l’Assemblée nationale et le Sénat, le 8 février 2008. C’est un coup d’Etat contre le peuple français. De ce jour funeste, nous sommes sorties de la « démocratie », si tentée que nous ayons un jour vécu sous un régime démocratique. En tout état de cause, la république nous était vendue comme un régime démocratique qui donnait une voix a chaque citoyen. Ce 8 février 2008, le rideau, c’est déchiré et le régime, c’est montré sous son vrai visage. Les banquiers disposaient de tous les leviers de décision contre le peuple français.
Restait une dernière étape : celle de mettre au pouvoir un banquier de chez Rotschild à l’Elysée afin de détruire ce qui reste de la France. Ce fut fait en 2017 avec Emmanuel Macron.
2. Soumission des citoyens aux banques.
L’Etat comme les banques peuvent décider de tuer socialement une personne qui refuserait de se soumettre à la dictature. Toute une batterie de procédure existe. J’en sais quelques choses. La coopération entre l’Etat et les banques est étonnante.
L’Etat comme les banques s’arrogent le droit exorbitant de se servir sur le compte des citoyens, sans que celui-ci ne puisse s’y opposer.
N’avez-vous jamais remarqué que votre banquier refuse de payer votre facture de téléphone ou d’Internet, mais ne se gêne pas pour prendre immédiatement des frais bancaires ? La chose m’a toujours étonné. Incapable de trouver vingt euros pour payer la facture portable, car il ne souhaite pas vous accorder de découvert, mais capable de mettre celui-ci à découvert pour prendre huit euros de frais bancaires. Vous voyez ce que je veux dire. On a tous connu ce genre de situation.
De timides lois sont votées pour calmer la colère populaire contre les banquiers. Des lois inefficaces et jamais vraiment appliquées. On plafonne les frais bancaires à quatre-vingts euros par mois (mais uniquement ceux qui concernent le dépassement de découvert), on envoie aux clients un relevé des frais bancaires chaque mois et on oblige la banque à informer l’usager de la somme prélevé quatorze jours avant la ponction sur le compte. Dans la pratique, il est toujours quasi impossible de s’y opposer, sauf à saisir la justice pour des sommes dérisoires. Une justice souvent favorable aux banques, lorsque le courageux ose allé jusqu’au bout.
L’état ne se gêne pas pour bloquer ou saisir l’argent sur le compte des particuliers ou des entreprises. Un simple rond de cuir du service des impôts peut prendre cette décision. Cela se passe en toute simplicité. Le fonctionnaire, petit Goebbels en puissance, signe une lettre demandant le blocage du compte bancaire. Aucune lettre recommandée a l’intéressé au préalable, aucune demande à un huissier ou à la justice. Non, non, une simple demande adressée à la banque et l’argent est bloquée immédiatement. On se croirait dans le fabuleux film de Terry Gilliam « Brazil ».
Cela s’appelle l’Avis à Tiers Détenteur. Pour les intimes ATD. A la vérité, la procédure existe depuis 1955 (Décret n°55-470 du 30 avril 1955), mais il n’autorisait pas l’Etat saisir le contenu d’un compte bancaire.
C’est François Mitterrand et son gouvernement de gauche (et oui déjà) qui vota cette loi inique dont je vous livre l’article L.262 du Livres des procédures fiscales (version 31 décembre 1981 (Loi n°81-1179 du 31 décembre 1981) :
« Les dépositaires, détenteurs ou débiteurs de sommes appartenant ou devant revenir aux redevables d’impôts, de pénalités et de frais accessoires dont le recouvrement est garanti par le privilège du Trésor sont tenus, sur la demande qui leur en est faite sous forme d’avis à tiers détenteur notifié par le comptable chargé du recouvrement, de verser, au lieu et place des redevables, les fonds qu’ils détiennent ou qu’ils doivent, à concurrence des impositions dues par ces redevables. »
Merci à cette gauche toujours si proche du peuple. Cela ne concernait que le recouvrement de l’impôt. Le reste allait suivre.
En 2004, une nouvelle procédure va être adoptée lors du vote de la loi de finance : l’opposition administrative pour les amendes et condamnations judiciaire.
L’article 128 de la loi n°2004-1485 du 30 décembre 2004 portant loi de finances rectificative crée l’opposition administrative :
« I. Lorsque le comptable du Trésor public est autorisé par des dispositions législatives ou réglementaires à procéder au recouvrement forcé d’une créance ou d’une condamnation pécuniaire, il peut, préalablement à la mise en œuvre de toute procédure coercitive, demander à un huissier de justice d’obtenir du débiteur ou du condamné qu’il s’acquitte entre ses mains du montant de sa dette ou de sa condamnation pécuniaire.
II.-Le recouvrement par le Trésor public des amendes et condamnations pécuniaires peut être assuré par voie d’opposition administrative adressée aux personnes physiques ou morales qui détiennent des fonds pour le compte du redevable, qui ont une dette envers lui ou qui lui versent une rémunération.
1. Le Trésor public notifie cette opposition administrative au redevable en même temps qu’elle est adressée au tiers détenteur.
(…)
4. Les contestations relatives à l’opposition administrative doivent être adressées à l’administration dont dépend le comptable qui a exercé cette poursuite. »
La loi permet au comptable du trésor de faire intervenir un huissier au préalable, mais ce n’est pas obligatoire. Autant dire que ça n’arrive jamais.
La saisie sur le compte est réalisée par l’envoi d’une lettre simple (même pas recommandé). Le recours contre la décision doit se porter devant l’administration (on croit rêver).
Les millions de Français victimes de ce genre de procédure peuvent en attester (et j’en fais partie).
On comprend mieux pourquoi l’Etat, complice des banques, tient tellement à ce que chaque Français dispose d’un compte bancaire.
La dictature bancaire s’abat sur les Français avec l’aide de la justice. Une justice qui ne remplit plus son rôle constitutionnel de « gardienne des libertés publiques » (article 66 de la Constitution de la Cinquième République).
L’affaire de la Société Générale, de 2008, en est un exemple parfait.
Le jeune trader Jérôme Kerviel est accusé par la Société Générale d’avoir fait perdre quatre milliards et quatre-vingt-deux millions d’euros en raison de l’achat inconsidéré d’action pour cinquante milliards d’euros, soit une somme supérieure aux fonds propre de la banque. L’établissement bancaire explique (sans rigoler) que le trader aurait caché à ses supérieurs ses mouvements en bourse.
Les foudres de la justice vont s’abattre sur lui.
Au pénal, il est condamné à cinq ans de prison, dont trois fermes. Il encourait cinq ans de prison. Il a donc été condamné au maximum de la peine encourue. Fait sans précédent pour un primo-délinquant.
Il doit également payer quatre milliards neuf cents million de dommage et intérêt à la Société Générale. Il a été reconnu coupable de la totalité des pertes de la banque. C’est la plus grosse condamnation à des dommages et intérêts de l’histoire de la justice française.
C’est le jugement de première instance du Tribunal correctionnel de Paris, le 5 octobre 2010.
Je vous livre un passage, croustillant, de la décision du tribunal correctionnel. Un moment d’anthologie dont seule la justice française est capable.
Ce genre rhétorique montre que le tribunal censé être neutre et respectueux du principe de présomption d’innocence, n’entend accepter qu’une seule chose : la reconnaissance de la culpabilité de celui qui comparaît devant lui. Aucune possibilité de clamer son innocence ou de se défendre à arme égale. Il faut avouer absolument. C’est la même méthode que dans Le procès de Kafka. Le malheureux monsieur K. est condamné à mort, car il refuse de reconnaître sa culpabilité.
Le jugement sera confirmé en appel et en cassation, sauf en ce qui concerne la condamnation au versement de dommage et intérêt à la Société Générale.
Quelques mois plus tard, éclate un coup de théâtre révélé par Médiapart. Dans un article du 17 janvier 2016, le journal électronique communique un enregistrement sonore entre une ancienne procureure du tribunal de Paris, Chantal de Leiris et une policière. Dans l’enregistrement, elle révèle que la Société Générale savait concernant les agissements de Kerviel. Mais surtout, elle explique que l’enquête a été manipulée par la banque. Un aveu de la collusion (que tout le monde avait deviné) entre le monde des banques et la justice.
Affaire Kerviel: une magistrate dénonce à son tour une enquête «manipulée» – Page 1 | Mediapart
II. La marque de la bête.
« Elle fit qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne pût acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la bête ou le nombre de son nom. » (Apocalypse, XIII : 16-17).
L’apocalypse déclare que nul ne pourra acheter ou vendre s’il ne porte la marque de la bête. Il faut rechercher quel est cette marque dans les événements que nous traversons aujourd’hui. Abordons notre étude à travers deux éléments, la marque de la bête est celle des esclaves (A) et son chiffre est 666 (B).
A : La marque de l’esclave.
« Elle fit qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne pût acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la bête ou le nombre de son nom. » (Apocalypse, XIII : 16-17).
Jean décrit le système économique capitaliste. En effet, il dit « que nul ne pût acheter ou vendre ». Rappelez-vous également la déception des marchands lors de la mort de la prostituée Babylone (la chute du communisme soviétique).
« Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, un séjour de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau immonde et odieux, parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, que les rois de la terre se sont souillés avec elle, et que les marchands de la terre se sont enrichis par l’excès de son luxe. » (Apocalypse, XVIII : 2-3).
La marque de la bête se trouverait sur la main ou sur le front. C’est la marque des esclaves depuis toujours. On marquait au fer rouge l’esclave sur la tempe, le bras ou même le front.
Le premier Code noir fut adopté par Jean-Baptiste Colbert en mars 1685 sous Louis XIV. Un deuxième code noir est rédigé sous Louis XV, en mars 1724.
Une fleur de Lys était tatouée sur les épaules. D’autres pays utiliseront la même pratique. Cela existait déjà sous l’antiquité, à l’époque de Saint-Jean.
Dans le Code noir, le tatouage est prévu comme une punition pour les esclaves coupable d’évasion.
« L’esclave fugitif qui aura été en fuite pendant un mois, à compter du jour que son maître l’aura dénoncé en justice, aura les oreilles coupées et sera marqué d’une fleur de lis une épaule ; s’il récidive un autre mois pareillement du jour de la dénonciation, il aura le jarret coupé, et il sera marqué d’une fleur de lys sur l’autre épaule ; et, la troisième fois, il sera puni de mort. » (Article 38 du Code noir).
Cette pratique fut en vigueur jusqu’en 1832 pour la France.
La marque de la bête est une forme d’esclavage économique. Jean de Patmos avec ses yeux d’hommes du premier siècle décrit ce qu’il voit. Il utilise des mots de son temps. Il observe les hommes modernes soumis au monde de la banque et de l’argent. Il observe que nous disposons d’une marque sur la main ou sur le front comme les esclaves sous l’Empire romain, c’est-à-dire marqué au fer rouge du nom de leur propriétaire. Il en déduit donc que nous sommes les esclaves des banques.
La marque de la bête pourrait correspondre à l’instauration du pass sanitaire instauré le 12 juillet 2021 dans le cadre de la crise du corona-virus. Le pass sanitaire concerne les gens qui se font vacciner contre la fausse maladie du Corona-virus. L’idée d’un passeport vaccinal est née dans les bureaux de l’Union européenne avant la crise du COVID, ce qui montre bien que tout cela n’est qu’un prétexte. Elle s’est faite en plusieurs étapes.
Nous avons la Recommandation du 7 décembre 2018.
Nous sommes un an et demi avant la pandémie et tous s’y trouve déjà.
« (1) Conformément à l’article 168 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE), un niveau élevé de
protection de la santé humaine doit être assuré dans la définition et la mise en œuvre de toutes les politiques et
actions de l’Union. L’action de l’Union, qui vise à compléter les politiques nationales, doit porter sur l’amélioration de la santé publique et la prévention des maladies et des affections humaines et des causes de danger pour la
santé physique et mentale.(2) Conformément à l’article 168, paragraphe 6, du TFUE, le Conseil, sur proposition de la Commission, peut adopter des recommandations aux fins énoncées audit article, à savoir l’amélioration de la santé publique, notamment
en ce qui concerne la lutte contre les grands fléaux et la surveillance de menaces transfrontières graves sur la
santé, l’alerte en cas de telles menaces et la lutte contre celles-ci. Les maladies à prévention vaccinale sont considérées comme de grands fléaux.«
La seule solution est la promotion du vaccin :
« (3) La vaccination est l’une des mesures de santé publique les plus efficaces et les plus rentables qui aient été mises
en place au XXe siècle et reste le principal outil de prévention primaire des maladies transmissibles.(4) Même si les programmes de vaccination relèvent de la responsabilité des États membres, le caractère transfrontière des maladies à prévention vaccinale et les difficultés communes rencontrées dans le cadre des programmes de vaccination nationaux font qu’il serait utile de coordonner davantage l’action et les initiatives de l’Union européenne visant à prévenir ou à limiter la propagation des épidémies et des maladies à dimension transfrontière.«
Le texte fait sens cesse référence à l’année 2020 en particulier dans la neuvième recommandation. A cette date devra être créé un carnet de vaccination commun.
« viser à mettre en place un système européen de partage d’informations sur les vaccinations (EVIS), coordonné par
l’ECDC, pour :
a) conjointement avec les autorités nationales de santé publique,i) examiner la possibilité d’établir, d’ici 2020, des lignes directrices pour un calendrier européen des vaccinations de base tenant compte des recommandations de l’OMS pour la vaccination systématique, en vue d’améliorer la compatibilité des calendriers nationaux et de promouvoir une protection équitable de la santé des citoyens de l’Union, ainsi que la possibilité de créer un carnet de vaccination commun :
l’Union européenne;
Le septième considérant se plaint du faible taux de vaccination des personnel des hôpitaux et recommande de prendre des mesures pour forcer ceux-ci à être vacciné.
« (7) Il y a lieu de remédier aux situations où les taux de couverture vaccinale des professionnels de la santé sont jugés insuffisants au regard des recommandations nationales afin de protéger ces professionnels ainsi que leurs patients.«
La mise en cause de ceux qui travail dans le domaine médicale était déjà envisagé en 2018. Bien sûr j’entend déjà chuchoter a mon oreille l’accusation infamante de « complotiste ». Moi je ne fait que reprendre ce qui a été écrit avant la crise sanitaire du COVID.
En 2019, l’Union européenne publiait sur Internet un document intitulé « roadmap on vaccination« .
2019-2022_roadmap_en.pdf (europa.eu)
Le document s’intitule :
« FEUILLE DE ROUTE POUR LA MISE EN ŒUVRE DES ACTIONS DE LA COMMISSION EUROPÉENNE FONDÉES SUR LA COMMUNICATION DE LA COMMISSION ET LA RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LE RENFORCEMENT DE LA COOPÉRATION CONTRE LES MALADIES ÉVITABLES PAR LA VACCINATION.«
La première « action » citée dans la feuille de route s’intitule :
« Examiner la faisabilité de l’élaboration d’une carte/passeport de vaccination commun pour les citoyens de l’UE (qui tienne compte des calendriers de vaccination nationaux, potentiellement différents), qui soit compatible avec les systèmes électroniques d’information sur la vaccination et reconnu pour une utilisation transfrontalière, sans duplication du travail au niveau national.«
A côté de l’action, est présenté un échéancier allant de 2018 à 2022.
Pour 2019-2021, il est dit :
« Étude de faisabilité pour le développement d’une carte de vaccination commune de l’UE carte de vaccination commune à l’UE.«
En 2022 :
« Proposition de la Commission pour une carte de carte de vaccination/passeport pour les citoyens de l’UE.«
En 2021, nous avons un pass sanitaire et en 2022 (si tous va bien), la Commission européenne adoptera le passeport vaccinal pour l’ensemble de l’Union européenne. C’est écrit noir sur blanc dans les documents de l’UE. Mais à part cela, nous ne sommes que des vilain complotiste.
Pour couronner le tout, un exercice eut lieu le 18 octobre 2019 concernant une épidémie mondiale qui dévasterait le monde. C’est l’event 201.
The Event 201 scenario | A pandemic tabletop exercise (centerforhealthsecurity.org)
Le site internet consacré à l’exercice expose le scénario de l’event 201 :
« Le scénario de l’event 201.
L’événement 201 simule une éclosion d’un nouveau coronavirus zoonotique transmis des chauves-souris aux porcs à des personnes qui finit par devenir efficacement transmissible d’une personne à l’autre, entraînant une grave pandémie. L’agent pathogène et la maladie qu’il provoque sont largement calqués sur le SRAS, mais il est plus transmissible en milieu communautaire par les personnes présentant des symptômes légers.
La maladie commence dans les élevages porcins au Brésil, tranquillement et lentement au début, mais elle commence ensuite à se propager plus rapidement dans les établissements de soins de santé. Lorsqu’elle commence à se propager efficacement d’une personne à l’autre dans les quartiers à faible revenu et densément bondée de certaines mégapoles d’Amérique du Sud, l’épidémie explose. Il est d’abord exporté par avion vers le Portugal, les États-Unis et la Chine, puis vers de nombreux autres pays. Bien qu’au début, certains pays soient en mesure de le contrôler, il continue de se propager et d’être réintroduit, et finalement, aucun pays ne peut le garder.
Il n’y a aucune possibilité qu’un vaccin soit disponible la première année. Il existe un médicament antiviral fictif qui peut aider les malades, mais ne pas limiter de manière significative la propagation de la maladie.
Étant donné que l’ensemble de la population humaine est sensible, au cours des premiers mois de la pandémie, le nombre cumulé de cas augmente de façon exponentielle, doublant chaque semaine. Et à mesure que les cas et les décès s’accumulent, les conséquences économiques et sociétales deviennent de plus en plus graves.
Le scénario se termine au point de 18 mois, avec 65 millions de morts. La pandémie commence à ralentir en raison de la diminution du nombre de personnes sensibles. La pandémie se poursuivra à un certain rythme jusqu’à ce qu’il existe un vaccin efficace ou jusqu’à ce que 80 à 90 % de la population mondiale aient été exposées. À partir de là, il est probable qu’il s’agira d’une maladie infantile endémique.«
Le texte laisse rêveur. Tout s’y trouve. Le nom de la maladie, son mode de transmission, la vaccination obligatoire. En revanche, ils ont eu la main lourde sur le nombre de morts : 65 millions de morts… nous en sommes loin.
Il me semble possible que la marque de la bête, ce soit se pass sanitaire et son futur développement en passeport vaccinal. Il est utilisé sous la forme d’un QR Code dans un téléphone portable que l’on tient dans la main.
La marque sur le front pourrait être la prise de température par un thermomètre frontale, si souvent utilisé avant d’entrer dans un magasin lors des confinements de 2020.
C’est également le test PCR dans le nez dont le coton tige remontait assez loin jusqu’au bas du front.
B : Le nombre de la bête : 666.
Il va plus loin et nous dit que très bientôt, plus personne ne pourra acheter ou vendre sans avoir la marque de la bête de la terre ou son nombre (666). Là encore, l’enfer est à nos portes.
« Elle fit qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne pût acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la bête ou le nombre de son nom. » (Apocalypse, XIII : 16-17).
Continuons l’analyse avec le passage suivant. Il parle du nombre de la bête. Ce texte à fait couler beaucoup d’encre.
« C’est ici la sagesse ! Que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la bête ; car c’est un nombre d’homme et ce nombre est six cent soixante-six. » (Apocalypse, XIII : 18)
Le nombre de la bête est 666.
On nous a expliqués, à travers les siècles, que c’était le nom de Néron ou d’Hitler encodé selon les règles de la numérologie juive. Il n’est pas besoin de chercher aussi loin une explication plausible.
Selon moi, il faut lire le livre de Pierre Jovanovic, « 666 ». La solution gravite autour du monde de la banque et des médias.
Le premier ordinateur grand public fut créé par Steve Jobs. L’Apple I portait sur lui le chiffre de la bête. En 1976, il était vendu au prix de 666,66 dollars. Une référence explicite et volontaire à la bête de la terre.
Mieux, que ça, le logo de l’entreprise Apple était à l’origine une simple pomme, mais Steve Jobs est intervenu lui-même pour le faire modifier. Il substitua la pomme entière par une pomme croquée. Celle du jardin d’Eden que mange Eve. Elle fut offerte par le serpent alors que Dieu avait interdit aux deux premiers hommes de goûter ce fruit.
Une affiche des années quatre-vingts montre que la référence est explicite et volontaire. On voit même le serpent derrière Adam.
L’informatique comme outil du diable. Etonnante révélation.
Elle permet aux banques de contrôler leurs clients, de brasser des sommes considérables de manière quasi-automatique. Elle a fait exploser les activités boursières avec des programmes qui sont capables de donner des ordres d’achat ou de vente en quelques secondes par des algorithmes.
J’ai connu les banques avec une pléthore de guichet où l’on pouvait retirer ou déposer de l’argent, mettre des chèques sur son compte. Derrière chaque guichet, il y avait un employé.
Au tournant du millénaire, aux environs de l’an 2000, on a vu apparaître des machines automatiques capables d’encaisser l’argent liquide ou les chèques. Elle vous imprime les RIB et les relevés de compte.
Conséquences, on a supprimé progressivement les guichets et les emplois qui vont avec. Maintenant, un seul employé gère toute une agence. Toutes les tâches sont réalisées par l’ordinateur, l’agent bancaire n’est là que pour répondre aux questions. Peut-être qu’un jour, il n’y aura plus aucune présence humaine dans les agences. Tout sera automatisé jusqu’à l’excès.
Une chose m’a toujours étonné, moins les banques ont d’employé, plus nous faisons le travail à leur place et plus les frais bancaires s’envolent. C’est le monde à l’envers. On doit payer pour faire des tâches que les banquiers réalisaient eux même il y a dix ou quinze ans. La chose a de quoi surprendre. Aucun citoyen ne se révolte contre ce fait. Les banques ne sont pas prises d’assaut par les foules en colère. Sans doute, car nous sommes tous devenus les esclaves de nos banquiers.
Nous devons cette funeste évolution à l’apparition de la micro-informatique.
Mais cette description est déjà dépassée. Maintenant, la gestion des comptes se fait par Internet et les applications sur smartphone. C’est la disparition des agences bancaires qui se dématérialiseront. Même l’unique agent qui gérait une banque est de trop. Tout se trouve désormais entre les mains de l’ordinateur. Plus de pièces, plus de billets, pus de banquier à engueuler. Le règne de la bête sera absolu. Le processus est presque achevé.
L’informatique est un outil très dangereux lorsqu’il est mis au service de l’Etat. Elle permet une surveillance totale de la vie privée des citoyens. On le voit avec le système d’espionnage américain échelon. Ils interceptent toutes les communications privées et publics avec l’aide d’un réseau de puissants ordinateurs. Ils trient les communications en fonction de mots-clés.
L’ordinateur permet l’instauration d’un véritable état totalitaire comme n’aurait jamais pu en rêver Adolf Hitler. C’est ce qui se cache derrière l’instauration du passeport vaccinal de l’Union européenne. Scanner son QR Code partout permet un traçage des citoyens afin de le surveiller.
Comme le souligne avec pertinence Pierre Jovanovic, le chiffre 666 est cité une seule fois dans la Bible.
« La reine de Saba, ayant appris la renommée de Salomon, au nom de Yahvé, vint pour l’éprouver par des énigmes. Elle vint à Jérusalem avec un équipage très considérable, des chameaux portant des aromates, de l’or en très grande quantité, et des pierres précieuses. Elle se rendit auprès de Salomon, et elle lui dit tout ce qu’elle avait dans le cœur.
Salomon répondit à toutes ses questions : il n’y eut rien qui restât caché au roi, sans qu’il pût répondre. Quand la reine de Saba eut vu toute la sagesse de Salomon, et la maison qu’il avait bâtie, et les mets de sa table, et les appartements de ses serviteurs, et les chambres et les vêtements de ses domestiques, ses échansons, et l’escalier par où il montait dans la maison de Yahvé, elle fut hors d’elle-même, et elle dit au roi : « C’était donc vrai ce que j’ai appris dans mon pays de ce qui te concerne et de ta sagesse ! Je n’en croyais pas le récit avant d’être venue et d’avoir vu de mes yeux, et voici qu’on ne m’en avait pas dit la moitié ! Tu surpasses en sagesse et en magnificence ce que la renommée m’avait fait connaître. Heureux tes gens, heureux tes serviteurs, qui sont continuellement devant toi, qui entendent ta sagesse ! Béni soit Yahvé, ton Dieu, qui s’est complu en toi et t’a placé sur le trône d’Israël ! C’est parce que Yahvé aime à jamais Israël, qu’il t’a établi roi pour que tu fasses droit et justice.
Elle donna au roi cent vingt talents d’or, une grande quantité d’aromates et des pierres précieuses. Il ne vint plus jamais autant d’aromates que la reine de Saba en donna au roi Salomon. Les vaisseaux de Hiram, qui apportaient de l’or d’Ophir, amenèrent aussi d’Ophir une très grande quantité de bois de santal et des pierres précieuses. Le roi fit avec le bois de santal des balustrades pour la maison de Yahvé et pour la maison du roi, et des harpes et des lyres pour les chantres. Il ne vint plus de ce bois de santal, et on n’en a plus vu jusqu’à ce jour. Le roi Salomon donna à la reine de Saba tout ce qu’elle désira, ce qu’elle demanda, sans parler des présents, en rapport avec la puissance d’un roi tel que Salomon.
Puis elle s’en retourna et alla dans son pays, elle et ses serviteurs. Le poids de l’or qui arrivait à Salomon en une année était de six cent soixante-six talents d’or, outre ce qu’il recevait des marchands ambulants et du trafic des négociants, de tous les rois d’Arabie et des gouverneurs du pays. (…) Le roi Salomon fut plus grand que tous les rois de la terre par les richesses et par la sagesse. » (1 Rois X : 1-15 ; 23).
L’or que rapporte chaque année la gestion du Royaume de Salomon était de six cent soixante-six talents d’or. Exactement, le chiffre de la bête. Ce qui montre que 666 est lié au monde économique.
Nous verrons dans les autres articles l’importance du 666 dans le monde des médias (3e article) et de la politique (4e article).